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Le selfie, des autoportraits qui enchantent les poux.
Le selfie, des autoportraits qui enchantent les poux.
©Flickr

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Et aussi : Cancer colorectal : la flore intestinale le déclenche-t-elle ? ; MERS-CoV : et si le coronavirus dépassait le Moyen-Orient ? ; Les pithovirus, vieux de 30.000 ans, bousculent nos idées sur le vivant.

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Autisme : les femmes en seraient bien mieux protégées

Pourquoi l’autisme ainsi que d’autres troubles neurodéveloppementaux concernent-ils surtout les garçons, et beaucoup moins les filles ? Il semble que le cerveau de la gent féminine dispose d’une plus grande aptitude à tolérer les anomalies génétiques.

Bien mystérieuse condition que l’autisme. Touchant plus d’un enfant sur 100, ce trouble du développement reste mal compris. Si les scientifiques semblent s’accorder pour dire qu’il s’agit d’un trouble neurologique précoce, son origine reste mal identifiée. Plus de 1.000 gènes ont été associés, de près ou de loin, à cette pathologie.

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Science décalée : le selfie, des autoportraits qui enchantent les poux

Depuis les obsèques de Nelson Mandela, tout le monde sait ce qu’est un selfie. Cette mode anodine en vogue auprès des adolescents pourrait avoir des conséquences sanitaires. À en croire une spécialiste des poux, ces autoportraits seraient une aubaine pour ces parasites capillaires, qui profiteraient des photos de groupes pour trouver de nouveaux terrains de jeux.

Narcissique, égocentré, dangereux, futile… Les pratiques tendances des adolescents font souvent l’objet de critiques de la part d’adultes qui ont probablement oublié leur propre jeunesse. Le selfie, qui consiste à se prendre en photo, seul ou entre amis, à l’aide de son smartphone, ne fait pas exception. La dernière en date émane de Marcy McQuillan, médecin états-unienne au centre de traitement antipoux Nitless Noggins (Scotts Valley, Californie), qui constate une recrudescence des consultations de jeunes qui ont des parasites plein la tête. Enfin une excuse valable ?

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Cancer colorectal : la flore intestinale le déclenche-t-elle ?

La génétique n’explique pas tout, et il est évident que d’autres facteurs favorisent le développement du cancer colorectal. Lesquels ? Une étude sur la souris suggère que certaines bactéries de la flore intestinale pourraient avoir une partie des torts.

Durant longtemps, on a résumé le cancer à des mutations génétiques néfastes qui favorisaient la multiplication anarchique des cellules. Certes, celles-ci demeurent indispensables pour emballer la machinerie cellulaire. Mais de la même façon que notre génome ne façonne pas tout de notre apparence et de notre personnalité, l’environnement exerce également un pouvoir sur les événements.

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MERS-CoV : et si le coronavirus dépassait le Moyen-Orient ?

De plus en plus d’études suspectent le dromadaire d’être le vecteur du coronavirus MERS-CoV. Or, il semblerait que les camélidés contaminés ne se limitent pas au seul golfe Persique : il pourrait y en avoir aussi en Éthiopie et au Soudan, voire ailleurs en Afrique. Y a-t-il eu plus de malades humains que le décompte ne le laisse penser ?

D’où vient le coronavirus MERS-CoV ? Depuis le début des investigations, les suspicions portent principalement sur deux animaux : la chauve-souris, qu’on sait être un réservoir viral à l’occasion et qui avait transmis son cousin, le Sras, et le dromadaire, animal domestique courant au Moyen-Orient, point de départ de l’épidémie à l’origine de 182 cas, dont 79 décès. Différentes études incriminent les deux animaux et exemptent les autres. Par sa proximité avec l’Homme, le camélidé pourrait bien en être le vecteur malgré lui.

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Les pithovirus, vieux de 30.000 ans, bousculent nos idées sur le vivant

Après les mimivirus, les mégavirus et les pandoravirus, voici venue l’heure des pithovirus, des parasite d’amibes retrouvés dans du pergélisol vieux de 30.000 ans et au pouvoir infectieux intact ! Leurs découvreurs, Chantal Abergel et Jean-Michel Claverie, spécialistes de la quête des virus géants, livrent à Futura-Sciences les caractéristiques de ces étranges nouveaux venus, mais aussi les enjeux qui se cachent derrière cette importante découverte.

Ils avaient défrayé la chronique en juillet dernier. La revue Science en faisait même sa une. Les pandoravirus, découverts par l’équipe de Chantal Abergel et Jean-Michel Claverie, du laboratoire Information génomique et structurale basé à Marseille, révolutionnaient les découvertes récentes concernant les virus géants. Car s’ils devenaient les plus grands de tous ceux qui avaient été repérés jusque-là, ils s'en distinguaient surtout par leur apparence : ils ne ressemblent aucunement à des virus, mais bel et bien à des bactéries. Ils en ont même la taille. Pas de capside, mais une enveloppe en forme de grande amphore. Parmi leurs autres spécificités : un génome très long, atteignant 2,8 Mb, produisant 2.500 protéines, malgré des séquences géniques jamais rencontrées ailleurs.

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