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Suspendu en février dernier par l’ANSM du fait des risques thromboemboliques qu’il entraînerait, le médicament Diane 35 vient de voir l’EMA, l’Agence européenne du médicament, renouveler la confiance qu'elle lui porte.
Suspendu en février dernier par l’ANSM du fait des risques thromboemboliques qu’il entraînerait, le médicament Diane 35 vient de voir l’EMA, l’Agence européenne du médicament, renouveler la confiance qu'elle lui porte.
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Et aussi : Pour des gènes en bonne santé, il faut se relaxer ! ; Les 30 ans du VIH : dans les coulisses de sa découverte ; Science décalée : le courant électrique qui rend meilleur en maths.

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Diane 35 : l’Europe considère la balance bénéfices-risques favorable

Suspendu en février dernier par l’ANSM du fait des risques thromboemboliques qu’il entraînerait, le médicament Diane 35 vient de voir l’EMA, l’Agence européenne du médicament, renouveler la confiance qu'elle lui porte. En effet, le rapport bénéfices-risques serait bien favorable dans certains cas de traitement de l’acné.

L’Agence européenne du médicament (EMA) vient de publier un avis positif concernant le médicament Diane 35. Elle estime que sa balance bénéfices-risques est favorable dans le traitement de l’acné hormonal. Fin février, les autorités sanitaires françaises ont décidé que cet antiacnéique, largement prescrit hors AMM (autorisation de mise sur le marché) comme contraceptif, devait être suspendu. Une décision qui vient d'ailleurs d’entrer en vigueur, ce 21 mai. Depuis l'annonce de l'autorité de santé européenne, l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) n'a pas encore réagi...

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Pour des gènes en bonne santé, il faut se relaxer !

Les techniques de décontraction ont un effet bénéfique sur notre santé. Une étude va encore plus loin et montre que la relaxation influence l'expression des gènes. Une pratique régulière améliorerait non seulement notre bien-être, mais aussi celui de nos cellules.

Les séances de relaxation permettent de réduire les tensions physiques, psychologiques et de maîtriser le stress. Herbert Benson, professeur de médecine à la Harvard Medical School de Boston, fut le premier à décrire ce phénomène qu’il a appelé « réponse à la relaxation ». En effet, plusieurs études ont mis en évidence l’influence bénéfique de ces techniques de détente sur divers paramètres physiologiques, tels que la vitesse du rythme cardiaque, la pression artérielle ou la maîtrise de la respiration. Des scientifiques ont par exemple prouvé que le yoga pouvait stimuler l’immunité...

Les 30 ans du VIH : dans les coulisses de sa découverte

En 1983, une équipe française observait pour la première fois le VIH sous un microscope. Tour d’horizon du parcours médical et scientifique qui a conduit à cette découverte.

Le 20 mai 1983, dans la revue Science, des chercheurs de l’institut Pasteur dirigés par Luc Montagnier ont publié la découverte du virus responsable du Sida. Trente ans plus tard, Futura-Sciences vous propose de revenir sur le contexte particulier de l’époque et sur la stratégie scientifique qui a mené à cette trouvaille...

Le manque d’activité physique tue plus que le tabac

Un rapport récent rappelle l’importance de pratiquer une activité physique régulière. La sédentarité est un fléau pour la santé et tuerait plus que le tabac ! Cependant, grâce à des gestes quotidiens simples, il est possible de changer la donne.

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) recommande la pratique d’au moins une demi-heure de marche par jour, pour entretenir sa santé. Cependant, moins de 40 % de la population mondiale s’adonne à cette activité régulière, qui semble pourtant à la portée de tous. La sédentarité augmente considérablement le risque de développer de nombreuses pathologies, et représente un problème de santé publique majeur...

Science décalée : le courant électrique qui rend meilleur en maths

Comment améliorer ses performances en mathématiques sans plancher des heures durant sur un livre ? Il suffit de quelques chocs électriques dans un endroit bien précis du cerveau pendant la résolution d’un problème, et les capacités de calcul s’améliorent. De quoi donner des idées à quelques semaines des épreuves du bac…

Vous en aviez rêvé ? Ils l’ont fait. Des chercheurs de l’université d’Oxford viennent de montrer que l’on pouvait améliorer les compétences en mathématiques en envoyant un faible courant électrique dans une région précise du cerveau durant la résolution d’un problème. De quoi réconcilier celles et ceux qui ont des difficultés avec cette science si particulière...

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