Ata, le mystérieux humain à la tête d’extraterrestre ; dépression : mieux vaut vivre seul que mal accompagné<!-- --> | Atlantico.fr
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Une analyse vient de montrer qu'un squelette haut de seulement 15 cm est celui d’un être humain.
Une analyse vient de montrer qu'un squelette haut de seulement 15 cm est celui d’un être humain.
©Reuters

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Et aussi : Punaises de lit (1/2) : les secrets des suceurs de sang ; Contre le coronavirus NCoV, la lutte s'organise ; Les chiens ont du flair pour dépister un cancer.

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Science décalée : Ata, le mystérieux humain à la tête d’extraterrestre

Un crâne allongé surmonté d’une crête : cet humanoïde a tout de l’extraterrestre de science-fiction. Pourtant, une analyse vient de montrer que ce squelette, haut de seulement 15 cm, est bien celui d’un être humain. Nommé Ata, il pourrait même être mort à l’âge de 8 ans…

Un fœtus momifié ? Un primate miniature ? Un enfant difforme ? Ou pire, un extraterrestre ? Les rumeurs vont bon train autour de l’étrange squelette d’Ata, haut de 15 cm et doté de caractères jusqu’alors jamais vus. Les analyses sont encore en cours, mais une partie du mystère semble résolu : il s’agit bien d’un être humain, et même d’un de nos contemporains…

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Dépression : mieux vaut vivre seul que mal accompagné

Au cours d'une large étude menée sur dix ans aux États-Unis, des chercheurs ont établi un lien entre la qualité des rapports sociaux et l’apparition de la dépression. Ainsi, de mauvaises relations conjugales influenceraient fortement le déclenchement de cette pathologie, et les célibataires ne seraient pas les plus vulnérables.

Selon les estimations du ministère de la Santé, près de 20 % des Français connaîtront au cours de leur vie un épisode dépressif. Cet état de malaise peut conduire à une véritable dépression, se caractérisant par un profond désarroi et un manque de goût pour la vie. Bien qu’elle soit plus présente dans les pays développés, cette pathologie peut toucher n’importe qui, à n’importe quel âge et ce, toutes classes sociales confondues.

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Punaises de lit (1/2) : les secrets des suceurs de sang

Méconnues du grand public il y a encore peu de temps, les punaises de lit arrivent en force pour parasiter nos nuits. Pascal Delaunay, entomologiste médical et parasitologue au CHU de Nice, dévoile à Futura-Sciences les mystères de ces petites bêtes.

Vous connaissiez le pou et la puce, voici maintenant la punaise de lit. Cet insecte, qui figure parmi les plus anciens parasites de l’Homme, se cache dans les matelas et vient sucer notre sang la nuit. Une fois bien installée, il est souvent difficile de s’en débarrasser. Or, pour mieux lutter contre un ennemi, il est important de bien le connaître. Futura-Sciences est donc allé discuter avec Pascal Delaunay, spécialiste du domaine. Incursion dans l’univers de ce nuisible

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Contre le coronavirus NCoV, la lutte s'organise

Le coronavirus, ou NCoV, « demi-frère du virus du Sras », a touché plus de 30 personnes et mobilise contre lui l'Organisation mondiale de la santé. Il reste mal connu, imposant à la fois des mesures sanitaires, notamment en France, et des études en laboratoire.

Depuis septembre 2012, 34 cas confirmés dont 18 mortels : à l’échelle mondiale, le nombre d’infections dues au nouveau coronavirus (NCoV) reste relativement faible. L’inquiétude semble toutefois grandir, depuis quelques jours, dans de nombreux pays, dont la France bien-sûr, mais également au sein de l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Et pour cause, ce nouveau virus, apparu au Moyen-Orient fin 2012, reste bien mystérieux. Il existe d’ailleurs peu de travaux de recherche fondamentale le concernant. Mais une chose semble sûre : ses caractéristiques moléculaires sont vraiment proches de celles du virus du Sras.

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Les chiens ont du flair pour dépister un cancer

Des chiens qui sentent le cancer : cet axe de recherche étonnant est bien réel, et des chercheurs israéliens s’y sont consacrés. Cette piste pourrait permettre de développer de nouvelles méthodes de dépistage précoce de cette maladie.

Bien plus que de simples animaux domestiques, les chiens sont aussi de précieux alliés pour notre santé. Les personnes âgées le savent bien, et voient souvent leur état général s’améliorer en présence de ces animaux. Mais leur atout majeur pourrait venir de leur formidable odorat. En effet, les chiens possèdent un flair 10.000 à 20.000 fois plus développé que celui de l’Homme, et peuvent différencier des odeurs très proches.

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