Réforme des retraites : il n'y aura pas de "passage en force" mais une nouvelle concertation<!-- --> | Atlantico.fr
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Emmanuel Macron
Emmanuel Macron
©STEPHANE MAHE / POOL

Prudence

Mais en cas de motion de censure, l'Assemblée nationale pourrait être dissoute

"A l’issue d’un dîner à l’Elysée autour d’Emmanuel Macron mercredi soir, réunissant les cadres de la majorité, a prévalu « le choix du dialogue et de la concertation », a déclaré ce jeudi matin Elisabeth Borne, en détaillant un calendrier relativement souple, mais aussi cramponné à la promesse présidentielle d’une application de la réforme à l’été 2023" écrit Le Monde.

"L’exécutif a décidé de temporiser sur la question, en ouvrant un nouveau cycle de concertations avec partenaires sociaux et forces politiques en vue d’une adoption d’un projet de loi global « avant la fin de l’hiver », a aindiqué jeudi la Première ministre. Il n’y aura donc pas de « passage en force », comme cela était redouté même au sein de la majorité".

Selon TF1, "Lors de ce dîner de travail à l'Élysée, Emmanuel Macron a notamment brandi la menace d'une dissolution de l'Assemblée, en cas de vote d'une motion de censure sur les retraites. "Ce qui se joue, c'est l'autorité de votre serviteur et je ne vais pas la lâcher au bout de six mois", a lancé le chef de l'État devant ses convives. "Je ne veux pas de chienlit. Si une motion de censure est adoptée, ça veut dire que tout le monde repart en campagne." Des propos rapportés à TF1 et LCI par l'un des participants".

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