Près de la moitié du quinquennat d’Emmanuel Macron cannibalisée par le feuilleton du Covid-19. Lui servira-t-elle in fine comme la radicalité des Gilets Jaunes ?<!-- --> | Atlantico.fr
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Emmanuel Macron président de la République
Emmanuel Macron président de la République
©CHARLES PLATIAU / POOL / AFP

Coronavirus

La prolifération du variant Delta, conjuguée à la résistance des anti-vaccin prolongent la crise sanitaire

Si le virus n’est pas éradiqué à l’hiver 2021, près de la moitié du mandat d’Emmanuel Macron aura été phagocytée par le Covid-19 et ses rebondissements. Alors qu’il y a quelques semaines à peine l’arrivée de l’été, la montée en puissance de la vaccination et l’essoufflement de la troisième vague laissaient espérer la fin des hostilités sanitaires, la prolifération du variant Delta, conjuguée à la résistance des antivax, prolonge l’interminable feuilleton, à neuf mois seulement de l’élection présidentielle analyse Le Monde.

"Il est trop tôt pour dire si la crise sanitaire pèsera ou non dans le vote des Français, et dans quel sens. Mais elle a d’ores et déjà profondément changé la donne politique, donnant l’avantage à l’exécutif sur un Parlement et des oppositions à la marge de manœuvre limitée" ajoute Le Monde.

"Tout comme la radicalité et la violence de certains « gilets jaunes » l’avaient in fineservi – La République en marche (LRM) apparaissant comme le nouveau visage du Parti de l’ordre de la IIe République –, Emmanuel Macron se sert de celles des antivax pour se présenter comme la seule offre politique raisonnable, alors que les oppositions républicaines peinent à exister" ajoute Le Monde.

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