Présidentielle
Eric Zemmour cherche à rebondir
Il ne progresse plus, mais ne baisse pas
Commencée en septembre, aussi impressionnante qu’elle fut, l'offensive éclair d'Eric Zemmour "s’est comme émoussée" constate Le Figaro.
Et "elle n’a, jusque-là, pas permis de mettre à bas ni sa rivale nationaliste du RN, Marine Le Pen, ni cloué au sol l’aéronef sorti vainqueur du congrès des Républicains, Valérie Pécresse".
"À la «croisée des chemins» dans les sondages, l’essayiste confirme sa qualité de troisième homme dans l’opposition au chef de l’État. S’il ne progresse plus, Éric Zemmour n’enregistre pas de baisse pour autant" ajoute Le Figaro.
Dans un paysage politique lui-même comme figé par la situation sanitaire. Selon une enquête Ifop-Fiducial pour LCI et Le Figaro, il se stabilise ainsi à 13,5 % d’intentions de vote. Derrière Valérie Pécresse et Marine Le Pen, respectivement à 16 %. Tandis qu’Emmanuel Macron domine largement avec quelque 27 % des voix.
"Pour renouer avec une dynamique, certains militants dans le public, mardi soir, avouent attendre avec impatience les futures confrontations télévisées" écrit Le Figaro.
Le candidat entend, d’ici là, multiplier chaque semaine les déplacements sur le terrain.
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