On frémit
Vers une Saint-Barthélémy des musulmans ?
On a lu ça dans La Croix, journal catholique (merci de ne pas rire).
Benoît Rayski
Benoît Rayski est historien, écrivain et journaliste. Il vient de publier Le gauchisme, maladie sénile du communisme avec Atlantico Editions et Eyrolles E-books.
Il est également l'auteur de Là où vont les cigognes (Ramsay), L'affiche rouge (Denoël), ou encore de L'homme que vous aimez haïr (Grasset) qui dénonce l' "anti-sarkozysme primaire" ambiant.
Il a travaillé comme journaliste pour France Soir, L'Événement du jeudi, Le Matin de Paris ou Globe.
Ce quotidien tout entier voué à Jésus et à la Vierge Marie a ouvert ses colonnes au Professeur Abel, un théologien protestan. Comme quoi à La Croix on est très ouvert…
Ce théologien pointe du doigt les terribles dangers qui pèsent sur la communauté musulmane. Selon lui, les "laïcards modifiés" (sic) se préparent à les massacrer. Et c’est relayé par l’inévitable Claude Askolovitch.
On ignore l’heure et le jour quand les tenants de la “laïcité modifiée” vont commettre leurs abominables forfaits. Ce qu’on sait c’est qu’ils ne sont pas catholiques. Donc on ne sonnera pas le tocsin à Saint-Germain-l’Auxerrois pour annoncer la tuerie…
Lors de la Saint-Barthélemy en 1572 les catholiques massacrèrent les protestants. Quelques années auparavant, ce sont les protestants qui massacrèrent les catholiques à Nîmes. Les laïcards dénoncés par le professeur Abel et Claude Askolovitch sont-ils capables d’un tel forfait ? La réponse est oui. Car ils sont avides du sang musulman.
Cependant, il y a une solution pour éviter cette orgie meurtrière. En effet, en 1572 le futur Henri IV avait échappé à la mort en renonçant au protestantisme. Que les musulmans fassent comme lui et abjurent. Ils seront sauvés. En plus pour leur nouvelle foi, ils auront, les veinards, le choix entre le catholicisme et le protestantisme.
En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.
Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !