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Polémique, livre, Mairie de Paris, débat, inégalités, société, idéologie, ouvrage, indigénisme, cancel culture, Rachel Khan, Racée, racisé, La Place
Rachel Khan est au cœur d'une polémique impliquant l'association La Place, dont elle est la directrice, mais aussi la Mairie de Paris, après des propos tenus dans le cadre de la promotion de son nouveau livre "Racée".
©Alberto PIZZOLI / AFP
"Racée"
Rachel Khan : seule contre toutes ?
Rachel Khan est au cœur d'une polémique impliquant l'association La Place, dont elle est la directrice, mais aussi la Mairie de Paris, après des propos tenus dans le cadre de la promotion de son nouveau livre "Racée". Certains administrateurs du centre culturel se désolidarisent de leur directrice. Ses prises de position contre l'idéologie décoloniale leur déplaisent.
Bernard Lecomte
Ancien grand reporter à La Croix et à L'Express, ancien rédacteur en chef du Figaro Magazine, Bernard Lecomte est un des meilleurs spécialistes du Vatican. Ses livres sur le sujet font autorité, notamment sa biographie de Jean-Paul II qui fut un succès mondial. Il a publié Tous les secrets du Vatican chez Perrin.
Femme et noire, Rachel Khan est surtout athlète de haut niveau, danseuse passionnée, actrice de talent, juriste expérimentée et autrice à succès. Elle est, aussi, hostile à l’idéologie décoloniale et à l’indigénisme. C’est dire si elle va s’attirer les foudres de toutes les néo-féministes et autres racialistes qui n’ont ni son intelligence ni son talent. Déjà, à la Mairie de Paris, foyer de la cancel culture à la française, elle est la cible des militantes extrémistes de l’association La Place, dédiée au hip-hop, qu’elle dirige. La lutte qui s’engage, destinée à éliminer (cancel) cette empêcheuse de raciser en rond, risque d’être très violente. A suivre...
Cet article a été initialement publié sur le blog de Bernard Lecomte : cliquez ICI
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