oiseau AFP

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Un chevalier échassier marche dans l'eau dans les "Vieux-Salins" à Hyères, dans le sud-est de la France, le 31 août 2021.

2 juin 2022

Les facteurs biologiques qui mènent à l'évolution sont plus abondants qu'on ne le pensait chez les animaux sauvages

Selon une étude menée par une équipe de recherche internationale, les animaux évoluent deux à quatre fois plus vite que ce que l'on pensait, des réponses observables à l'échelle des décennies.

A PROPOS DES AUTEURS

Céline Teplitsky est Chargée de recherche au Centre d’écologie fonctionnelle et évolutive (CNRS) à Montpellier. Ses recherches portent sur les mécanismes qui favorisent la variation phénotypique ainsi que sur les possibilités et les contraintes d’adaptation, en plaçant ces questions à la frontière entre la biologie de l’évolution et la biologie de la conservation.