« Il faut protéger l’identité française »<!-- --> | Atlantico.fr
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Le Premier ministre, Gabriel Attal, lors d'un discours à l'Elysée.
Le Premier ministre, Gabriel Attal, lors d'un discours à l'Elysée.
©Ludovic MARIN / AFP

Voilà qui est bien dit

Mais qui a bien pu prononcer une phrase pareille ?

Benoît Rayski

Benoît Rayski

Benoît Rayski est historien, écrivain et journaliste. Il vient de publier Le gauchisme, maladie sénile du communisme avec Atlantico Editions et Eyrolles E-books.

Il est également l'auteur de Là où vont les cigognes (Ramsay), L'affiche rouge (Denoël), ou encore de L'homme que vous aimez haïr (Grasset) qui dénonce l' "anti-sarkozysme primaire" ambiant.

Il a travaillé comme journaliste pour France Soir, L'Événement du jeudi, Le Matin de Paris ou Globe.

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Ne cherchez pas du côté de Marine Le Pen ni chez Zemmour ni chez les identitaires. Il faut chercher ailleurs.

La phrase est de Gabriel Attal qui nous surprendra toujours. Il sait ce qu’est la France des églises, des poètes, des écrivains et des peintres.

Le doute n’est pas permis sur ses connaissances. A-t-il demandé à Macron son aval ? Il y a peu de temps, le président de la République avait dit « il n’y a pas de culture française ». Le fait est qu’aujourd’hui, le vent souffle à droite. Tous les sondages l’attestent : l’immigration est l’objet d’un fort rejet. Pour autant, tous les immigrés ne sont pas à mettre dans le même sac.

Car pour être Français, il suffit d’aimer la France. On peut être étranger et Français. Plus loin dans le temps, l’Espagnol Pablo Picasso était un peintre français. Le Russe Andreï Makine, prix Goncourt, est un écrivain français. Nous demandons aux immigrés de suivre leur exemple, ils s’en porteront mieux. Et nous aussi.  

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