Houria Bouteldja a pitié des “petits Blancs”<!-- --> | Atlantico.fr
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Dans son livre, Houria Bouteldja établit un distinguo entre les “grands Blancs” et les “petits Blancs”.
Dans son livre, Houria Bouteldja établit un distinguo entre les “grands Blancs” et les “petits Blancs”.
©PATRICK HERTZOG / AFP

Merci pour nous

Tant de compassion nous touche profondément…

Benoît Rayski

Benoît Rayski

Benoît Rayski est historien, écrivain et journaliste. Il vient de publier Le gauchisme, maladie sénile du communisme avec Atlantico Editions et Eyrolles E-books.

Il est également l'auteur de Là où vont les cigognes (Ramsay), L'affiche rouge (Denoël), ou encore de L'homme que vous aimez haïr (Grasset) qui dénonce l' "anti-sarkozysme primaire" ambiant.

Il a travaillé comme journaliste pour France Soir, L'Événement du jeudi, Le Matin de Paris ou Globe.

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La flamboyante indigéniste a écrit un livre édité à La Fabrique : “Beaufs et barbares”. Voilà une excellente nouvelle car nous ne savions pas que Houria Bouteldja savait écrire. 

Dans son livre, elle établit un distinguo entre les “grands Blancs” et les “petits Blancs”. Selon elle, les “grands Blancs” sont méchants et racistes. Mais les “petits Bancs” échappent à sa vindicte. Selon Houria Bouteldja, ils sont de la lignée des révolutionnaires et des Communards.

Elle les plaint d'être attachés “à nos HLM comme une chèvre à un piquet”. Il est vrai que ça occasionne des troubles de voisinage. Les “petits Blancs” sont en effet obligés d’habiter dans nos quartiers. Et si l’on comprend bien, la confrontation avec la diversité est plutôt rude.

Là où Houria Bouteldja se trompe c’est que les “petits blancs” ont depuis longtemps déserté les quartiers qu’elle affectionne. Ils étaient las d’être insultés, frappés, volés. 

Mais n’en déplaise à Houria Bouteldja, il serait peut-être bon que d’autres que les “petits Blancs” quittent ces quartiers. 

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