Europe23 avril 2013
Vive le roi ...
Coup à l’italienne : pourquoi la réélection à la présidence de Giorgio Napolitano signe une révolution constitutionnelle que personne n’a votée
Faute de pouvoir désigner un nouveau gouvernement, l'Italie se résigne par défaut à Mario Monti. Du côté de la présidence, même chose : Giorgio Napolitano doit perdurer, faute de remplaçant potentiel. Quelles perspectives offrent les blocages institutionnels de la péninsule?