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Société15 mars 2014
Reuters
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L'angoisse

Ce que notre obsession pour la disparition du vol 370 dit des difficultés de notre cerveau à accepter les mystères non résolus

Une situation qui reste inexpliquée génère a priori plus de peurs et d'obsessions qu'une nouvelle terrible – même plus grave – mais clairement établie et sans zone d'ombre. A croire que le cerveau humain déteste plus l'inconnu que le tragique.

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