Réforme des retraites : Françoise Hardy déplore les « grèves répétées » et « les violences et dégradations matérielles » qui font de la France un « repoussoir touristique »<!-- --> | Atlantico.fr
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Françoise Hardy lors des Victoires de la musique en 2005. A l'occasion d'une interview au JDD, Françoise Hardy s'est notamment confiée sur la crise sociale et sur la réforme des retraites.
Françoise Hardy lors des Victoires de la musique  en 2005. A l'occasion d'une interview au JDD, Françoise Hardy s'est notamment confiée sur la crise sociale et sur la réforme des retraites.
©BERTRAND GUAY / AFP

Impact du mouvement social

Françoise Hardy s’est confiée lors d'une interview au Journal du Dimanche sur la mobilisation contre la réforme des retraites.

Françoise Hardy a accordé un entretien auprès de la rédaction du JDD. Au cœur de cette interview, l’artiste s’est notamment confiée sur l’impact du mouvement social contre la réforme des retraites. Françoise Hardy  dénonce des « grèves répétées » qui « aggravent la situation économique ». Elle déplore également « les violences et dégradations matérielles » qui font de la France un « repoussoir touristique ».

Interrogée sur la tribune, signée par plus de 300 personnalités issues du monde de la culture demandant le retrait immédiat la réforme des retraites, Françoise Hardy admet qu'elle n'aurait « sûrement pas » signé cette lettre :

« Je m'intéresse aux réalités économiques et j'ai compris qu'il y a plusieurs raisons impératives d'effectuer une réforme des retraites. Tous les pays européens ont mis l'âge de retraite à 65, 66 ou 67 ans, sauf le nôtre dont la dépense publique est la plus élevée d'Europe. [...] Et puis les retraités vivent de plus en plus longtemps et, actuellement nous n'avons même pas deux actifs pour un retraité ».

Françoise Hardy affirme ne se sentir « ni de droite - surtout en ce moment - et encore moins de gauche ».

Elle dénonce également les « grèves répétées » qui « aggravent » selon elle « la situation économique avec les problèmes de transport qu'elles provoquent ».

Françoise Hardy se désole que ces mobilisations transforment Paris et le pays « en repoussoirs touristiques », « sans parler de toutes les violences et des nombreuses dégradations matérielles inadmissibles dont les réparations coûtent cher ».

L’artiste a confié son sentiment sur la situation actuelle et sur les conséquences politiques du mouvement social contre la réforme des retraites :

« Pour vous dire la vérité, j'ai honte de ce qui se passe dans une France qui se laisse manipuler et désinformer par des extrémistes, de gauche ou de droite: la LFI, la Nupe, Marine Le Pen, etc ».

Le JDD

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