Free Mobile : la répression des fraudes enquêterait sur le bridage de la 3G<!-- --> | Atlantico.fr
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L'UFC Que Choisir a déposée plainte contre Free Mobile en janvier 2013.
L'UFC Que Choisir a déposée plainte contre Free Mobile en janvier 2013.
©Reuters

Débridé

Selon des informations de La Tribune, cette visite surprise serait liée à la plainte de l'UFC Que Choisir concernant la qualité du réseau en itinérance de l'entreprise de Xavier Niel.

Branle-bas de combat chez Free mobile. Selon les informations révélées par le site spécialisé Univers Freebox, des enquêteurs de la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) ont réalisé "très récemment" une visite surprise au siège social parisien d'Iliad, la maison mère de Free et Free Mobile. Des documents auraient été saisis concernant les forfaits 0/2 euros. Ni Free, ni Bercy (dont dépend la répression des fraudes) n'ont fait de commentaire pour l'instant.

Quant à la raison de cette saisie, le site spécialisé ZDNet évoque deux hypothèses. Soit la possibilité que l'entreprise de Xavier Niel vende à perte ses forfaits 0/2 euros (ce qui est interdit en France). L'autre hypothèse de cette visite surprise, serait le fait que Free bride sa 3G, ce dont l'accuse l'UFC Que Choisir et ce que confirment des sources contactées par La Tribune.

En janvier dernier, l'association de défense des consommateurs avait porté plainte contre l'opérateur pour "pratiques commerciales trompeuses" autour de l'Internet mobile en 3G qui serait bridé. Comme le souligne le journal économique, l'UFC Que Choisir avait dressé un "tableau catastrophique de la qualité de la 3G de Free Mobile". L'association lui reproche de "ne pas respecter son contrat avec les consommateurs", dénonçant "des incidents de réseau majeurs", "un fonctionnement de réseau anormal" et des "taux de non qualité stupéfiants".

Lu sur Univers Freebox

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