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Festival du film d’Angoulême : six évanouissements lors de la projection de "La petite reine"
©Reuters

Malaise

Six personnes se sont évanouies samedi 23 août au Festival du film francophone d'Angoulême après avoir assisté à une scène d'injection de produits dopants et de sang. L'une d'elle a même dû être hospitalisée.

"La petite reine" déconseillé aux âmes sensibles. Six personnes se sont évanouies samedi 23 août au Festival du film francophone d'Angoulême, lors de la projection du film québecois. Les spectateurs ont été pris d'un malaise après une scène d'injection de produits dopants et de sang. L' un d'eux a même dû être hospitalisé.

Lors du film programmé en matinée, une première personne a brièvement perdu connaissance. A la suite de quoi, deux autres se sont également trouvées mal après avoir assisté à une scène où l'actrice s'injecte des produits dopants, et manipule des poches de sang. La projection du film a donc été interrompue et les 245 spectateurs ont été évacués par précaution. Dans le même temps, les pompiers appelés prenaient en charge les victimes de malaise. Une femme de 30 ans a été conduite à l'hôpital tandis que les autres sont repartis par leurs propres moyens. Il semblerait bien que tous ces malaises soient dûs à cette scène du film.

"La petite reine", réalisé par le Québecois Alexis Durand-Brault, est un drame sportif qui met en scène d'une championne cycliste (intérprétée par Laurence Leboeuf) prête à tout pour réussir. Le film avait déjà été projeté une première fois à Angoulême, vendredi 22 août dans l'après-midi. Il n'avait alors donné lieu à aucun incident. Il sera à nouveau projeté mardi 26 août au matin. Face à la polémique déclenchée, l'un des membres du jury a tenu à défendre "La petite reine", qui est selon lui, "un beau film avec des moments très intenses, mais davantage dans le ressenti, pas nécessairement dans l'image". "C'est fort dans l'intensité, l'émotion, mais on n'est pas du tout dans le gore", a-t-il déclaré.

Lu sur Le Parisien

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