Pourquoi les hommes ont-ils un plus grand nez que les femmes ? ; les moisissures responsables de la maladie de Parkinson ?<!-- --> | Atlantico.fr
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Les hommes ont un nez 10 % plus grand que celui des femmes.
Les hommes ont un nez 10 % plus grand que celui des femmes.
©Reuters

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Et aussi : Des bactéries recyclent de l’ADN de mammouth vieux de 43.000 ans ! ; Surveillance de la grippe : GrippeNet.fr, épisode 3 ; Des herbes aromatiques pour réduire les risques de maladies du vieillissement ?.

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Pourquoi les hommes ont-ils un plus grand nez que les femmes ?

On peut dire qu’ils ont eu du nez. Une étude confirme les intuitions des scientifiques : si les hommes ont un nez 10 % plus grand que celui des femmes, c’est parce qu’ils sont globalement plus musclés. Et donc qu’ils ont besoin de davantage d’oxygène pour alimenter toute cette masse musculaire.

Cela expliquerait également pourquoi les Néandertaliens avaient un organe nasal plus développé que le nôtre. Long et fin, court et épaté, les narines plus ou moins retroussées : au milieu de notre figure, le nez peut prendre de nombreuses formes. Mais il est une vérité le concernant : celui des hommes est plus long que celui des femmes. Pas étonnant, puisqu’il existe un dimorphisme entre les sexes et que globalement, la gent masculine surpasse en taille la gent féminine. Mais n’y aurait-il pas une explication plus pragmatique ?

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Les moisissures responsables de la maladie de Parkinson ?

Avec le vieillissement de la population, la maladie de Parkinson prend de plus en plus d’ampleur. Ses causes restent cependant obscures et font l’objet de recherches intensives. Dans une étude récente, des chercheurs suggèrent qu’un composé volatil souvent émis par les moisissures influence le développement de la maladie. Après Alzheimer, Parkinson est la maladie neurodégénérative la plus fréquente dans le monde.

Selon la Fondation pour la recherche médicale, elle toucherait quatre millions de personnes dont 150.000 Français. Les symptômes sont assez inégaux et peuvent se manifester par des tremblements, une dépression ou différentes perturbations motrices. Cette variabilité dans les signes cliniques conduit souvent les scientifiques à parler non pas d’une mais de plusieurs maladies de Parkinson.

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Surveillance de la grippe : GrippeNet.fr, épisode 3

Le site GrippeNet.fr reprend du service pour la troisième saison consécutive. L’objectif : collecter les données des internautes afin d’avoir une meilleure idée de l’épidémie de grippe saisonnière qui va sévir cet hiver. Avec quelques nouveautés par rapport aux épisodes précédents… GrippeNet.fr complète les systèmes de surveillance traditionnels de la grippe, alimentés par des informations collectées dans les cabinets de médecins libéraux et les hôpitaux. Ces données permettent d’entreprendre des travaux de recherche (au niveau national mais aussi au niveau européen) pour tenter de mieux comprendre la grippe : recherche de facteurs de risque, rôle de l’âge, impact de la vaccination, diffusion de la maladie à l’échelle européenne, etc.

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Des herbes aromatiques pour réduire les risques de maladies du vieillissement ?

Selon une nouvelle étude, certains antioxydants présents dans des herbes culinaires renforcent la mémoire et l’apprentissage chez la souris. Ces travaux offrent une piste pour contrer les maladies neurodégénératives qui touchent un nombre grandissant d’individus.

Reste cependant à déterminer l’effet de ces composés sur l’activité cérébrale chez l’Homme. Grâce à la respiration cellulaire, les cellules obtiennent l’énergie nécessaire à leur fonctionnement. Cette réaction cruciale a cependant son côté obscur car elle entraîne l’apparition de radicaux libres, des molécules très réactives qui ont tendance à s’accumuler dans les cellules. Elles peuvent alors altérer différents composants cellulaires essentiels comme les protéines, l’ADN et les membranes. Mais à l’aide d’enzymes antioxydantes, les cellules peuvent se défendre contre les attaques des radicaux libres.

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Des bactéries recyclent de l’ADN de mammouth vieux de 43.000 ans !

Du point de vue des bactéries, l’environnement ressemble probablement à un grand entrepôt truffé de matériel génétique. Des chercheurs viennent de montrer qu'elles étaient capables d’ingérer puis d’intégrer dans leur génome des fragments d’ADN très anciens.

Cette découverte ouvre une perspective nouvelle sur leurs capacités évolutives. En matière d’évolution, les bactéries sont les championnes toutes catégories. Apparues il y a au moins 3,6 milliards d’années sur terre, elles se sont formidablement adaptées à tous les types d’environnements, même les plus extrêmes. On en trouve presque partout, jusque dans les sources chaudes et dans le fond des eaux extrêmement salées de la mer morte.

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