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Une étude laisse entendre que le virus du Sida pourrait nous infecter depuis plus longtemps que ce qui est estimé.
Une étude laisse entendre que le virus du Sida pourrait nous infecter depuis plus longtemps que ce qui est estimé.
©CDC/Dr. Edwin P. Ewing, Jr.

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Et aussi : Rats-taupes nus : une longévité exceptionnelle et jamais de cancer, Alzheimer : sait-on enfin pourquoi les neurones dégénèrent ?, Paludisme : comment un médicament traditionnel chinois est efficace.

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Le VIH s’en prendrait-il à l’Homme depuis plus longtemps que prévu ?

Alors qu’on estime que le VIH est passé du singe à l’Homme depuis une centaine d’années, une étude laisse entendre que le virus du Sida pourrait nous infecter depuis plus longtemps que ce qui est estimé. Pourquoi ? La réponse se trouve (peut-être) chez les Pygmées.

Avant le VIH, était le VIS, le virus causant le Sida des singes. Car nos plus proches cousins souffrent eux aussi de l’immunodéficience, et ce depuis des dizaines de milliers d’années, à en croire les spécialistes. Chez les singes, la maladie n’est cependant que très rarement mortelle, à la différence de la maladie chez l’Homme.

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Science décalée : s’énerver plus pour vivre plus

Manifester son mécontentement permettrait de vivre plus longtemps. Ce sont les conclusions étonnantes d’une étude allemande qui montre que ceux qui intériorisent leurs émotions ont davantage de risques de développer un cancer ou de souffrir d’hypertension…

Certains gardent leur calme quand d’autres se font entendre dès que le moindre désagrément les perturbe. Ceux-là détiendraient l’une des clés de la longévité. C’est du moins ce que montre une méta-analyse menée par deux chercheurs de l’université d’Iéna, en Allemagne.

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Rats-taupes nus : une longévité exceptionnelle et jamais de cancer !

Ils peuvent sûrement prétendre au titre de mammifères les plus laids, pourtant ils sont plein de ressources. Les rats-taupes nus, des rongeurs de la taille d’une souris, vivent dix fois plus longtemps que leurs cousines, notamment parce qu’ils ne développent jamais de cancers. De quoi nous en apprendre beaucoup sur les meilleurs moyens de vivre plus longtemps !

Pas plus gros qu’une souris, les rats-taupes nus ont une longévité incroyable pour de si petits animaux. À tel point qu’ils passionnent la communauté scientifique. Les travaux menés sur cette espèce hors du commun par Rochelle Buffenstein du Barshop Institute for Longevity and Aging Studies à San Antonio (Texas), ont été récompensés par le prix ADPS Longevity Research.

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Alzheimer : sait-on enfin pourquoi les neurones dégénèrent ?

Des Américains ont un début d’explication à la neurodégénérescence observée dans la maladie d’Alzheimer. Bêta-amyloïdes et protéine Tau, toujours retrouvées dans les cerveaux des patients, collaboreraient pour faire entrer les neurones dans le cycle cellulaire, ce qui finirait par les détruire. On tient peut-être là une grande découverte !

A-t-on levé un coin du voile sur le grand mystère Alzheimer ? La maladie neurodégénérative la plus fréquente s’accompagne toujours de plaques extracellulaires d’une protéine appelée bêta-amyloïde et d’un enchevêtrement d’une seconde, appelée Tau. Si le caractère anormal de l’accumulation de ces molécules avait frappé les neurologues, étaient-elles la cause ou une conséquence de la mort des neurones ?

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Paludisme : comment un médicament traditionnel chinois est efficace

La médecine traditionnelle connaît parfois des succès. L’halofuginone, un dérivé synthétique d’une molécule utilisée depuis plus de 2.000 ans en Chine, vient de révéler son mode d’action contre la fièvre due au paludisme. Cette molécule pourrait soigner de très nombreuses maladies !

Des chercheurs du Scripps Research Institute (La Jolla, Californie) ont pour la première fois découvert les mécanismes d'action d'un médicament traditionnel chinois utilisé depuis 2.000 ans contre le paludisme, a rapporté dimanche la revue Nature.

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