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Le satellite Kepler, actif chasseur d’exoplanètes de la Nasa, a repéré cinq planètes autour de son étoile cible numéro 62.
Le satellite Kepler, actif chasseur d’exoplanètes de la Nasa, a repéré cinq planètes autour de son étoile cible numéro 62.
©Reuters

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Et aussi : Comment l'île mystérieuse s'est retrouvée sur Google Earth ?, un hacker qui pirate un avion de ligne avec un smartphone Android, ainsi que les mots de passe contrôlés par la pensée : la solution idéale ?

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Kepler-62 : l’étoile aux deux exoplanètes peut-être habitables

Le satellite Kepler, actif chasseur d’exoplanètes de la Nasa, a repéré cinq planètes autour de son étoile cible numéro 62, et deux autour de Kepler-69a. Trois sont rocheuses, juste un peu plus grandes que la Terre et se situent dans la « zone habitable ». De l’eau liquide pourrait donc y exister. Il n’y a aucune certitude que cette dernière soit bien là, mais la liste des planètes potentiellement accueillantes s’allonge…

Lancé en mars 2009, le télescope spatial Kepler observe une série d’étoiles (150.000) pas trop éloignées de la Terre pour y découvrir des systèmes planétaires par la méthode des transits. La moisson s’est rapidement révélée fructueuse et, en février 2011, la Nasa annonçait la découverte potentielle de 1.235 exoplanètes (potentielle, car il faut confirmer l’existence de ces exoplanètes depuis le sol). Parmi elles, 54 se situeraient dans la zone d’habitabilité, et 5 seraient des planètes telluriques, c’est-à-dire rocheuses, comme Mercure, Vénus, la Terre et Mars, et non gazeuses comme les géantes Jupiter, Uranus et Neptune.

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Deux espèces de papillon découvertes en Russie

Deux nouvelles espèces de papillon ont été découvertes en Extrême-Orient, par des chercheurs russes. Appartenant au genre Ypsolopha, ces insectes sont particulièrement difficiles à attraper. Les scientifiques ont donc eu un soupçon de chance, et viennent ajouter une pierre à la construction d’une grande base de données contribuant à la connaissance de la biodiversité.

En voilà qui sortent de l’ordinaire. Les Ypsolopha sont un genre d’insecte de l’ordre des lépidoptères dont la forme adulte est communément appelée papillon. Ils étonnent par la position qu’ils adoptent lorsqu’ils se reposent sur une feuille : ailes rangées, tête en avant, queue du corps en l’air et antennes tendues, telle est leur attitude. Si l’on compte près de 120 espèces de ce genre, réparties dans le monde entier, il est particulièrement difficile de les attraper.

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Comment l'île mystérieuse s'est retrouvée sur Google Earth ?

Gare à ceux qui utilisent Google Earth ou Google Maps pour se repérer, ces derniers ne sont pas toujours fiables. Sandy Island, ou île de Sable, n’existe pas, pourtant elle figurait sur Google Earth. Voici enfin les explications de la naissance et de la mort de Sandy Island.

En novembre dernier, des scientifiques australiens ont traqué une île fantôme. Ils étaient en mission, étudiant la tectonique des plaques, lorsqu’ils décidèrent de faire un petit détour par Sandy Island. Cette terre figurait sur Google Earth, sur la base de données mondiale des lignes côtières, mais pas sur leurs cartes nautiques. Piqués de curiosité, ils s’y sont donc rendus et ont levé le doute : l’île n’existe tout simplement pas. Google Earth indique pourtant la présence de Sandy Island, en forme d’ellipse, d’environ 25 km de long pour 5 km de large.

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Un hacker a piraté un avion de ligne avec un smartphone Android

Un consultant en sécurité informatique a créé un système permettant de prendre le contrôle d’un avion de ligne à distance, en exploitant les failles de sécurité du système de communication et de l’ordinateur de bord embarqués. Ce pirate de l’air s’est aidé d’un smartphone, mais pas seulement…

Lors d’une conférence sur la sécurité au Hack in the Box, du 8 au 11 avril à Amsterdam, une démonstration impressionnante a été relayée massivement dans la presse généraliste. Hugo Teso, consultant en sécurité informatique pour la société Nruns, également titulaire d’une licence de pilote professionnel, a présenté comment il pouvait prendre le contrôle d’un avion de ligne en plein vol, grâce à un simple smartphone équipé d’Android.

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Les mots de passe contrôlés par la pensée : la solution idéale ?

Il serait possible d’utiliser les ondes cérébrales pour contrôler un système d’authentification. À partir d’un casque EEG bon marché, des chercheurs ont enregistré l’activité du cerveau de plusieurs personnes soumises à des exercices mentaux spécifiques. Le but étant de dégager des modèles de pensées susceptibles de servir de mot de passe. Leur système s’est révélé fiable à 99 %.

En matière de sécurisation de mots de passe, la biométrie fait partie des pistes les plus explorées. Mouvement des yeux, battements du cœur, frappe au clavier ne sont que quelques-uns des paramètres les plus récemment étudiés pour trouver la solution à la fois la plus sécurisée et la plus ergonomique. On peut également citer les travaux de Google sur une bague électronique qui pourrait remplacer tous les mots de passe que l’on utilise pour se connecter aux services en ligne.

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