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Les pilules contraceptives ne sont plus prisées par les Françaises.
Les pilules contraceptives ne sont plus prisées par les Françaises.
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Et aussi : Paramécie : les clés d’une nouvelle forme d’hérédité ; L'évolution de Darwin dans une expérience de 25 ans au laboratoire ; Science décalée : la musique, une langue pour notre cerveau.

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En bref : les Françaises se détachent de la pilule contraceptive

Après la polémique de la fin de l'année 2012, les pilules contraceptives ne sont plus prisées par les Françaises. C’est du moins le résultat d’une enquête sur les évolutions récentes de la contraception en France. Les pilules de 3e et 4e générations ont fait l’objet d’une controverse importante à la fin de l’année 2012, à propos du risque de thrombose veineuse associé à leur utilisation. Quelles en ont été les conséquences sur la contraception en France ? Pour le savoir, des chercheurs du CNRS ont examiné les résultats de l’enquête Fecond concernant les évolutions récentes en matière de pratiques contraceptives.

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Paramécie : les clés d’une nouvelle forme d’hérédité

Chez certaines espèces de paramécies, la distribution du type sexuel dans la descendance ne suit pas les lois de Mendel, qui signent une hérédité provenant de l’ADN des chromosomes. Pourquoi ? Dans une étude récente, des chercheurs français viennent enfin d'élucider ce mystère vieux de 75 ans. Ils ont mis en évidence le rôle de petites séquences d’ARN dans l’expression des gènes chez la descendance. Ce mécanisme, jusqu’ici inconnu, offre de nouvelles possibilités d’évolution à ces espèces.

Les paramécies sont des organismes unicellulaires dont le matériel génétique est enfermé dans un noyau. Lors de leur reproduction sexuée, appelée conjugaison, les partenaires s’échangent réciproquement du matériel génétique. Bien qu'hermaphrodites, ces organismes présentent deux types sexuels, appelés E et O, la conjugaison ne pouvant avoir lieu qu’entre types sexuels différents. Dès les années 1940, des chercheurs comme Tracy Sonneborn avaient remarqué que le type sexuel ne se transmettait pas à la descendance en suivant les lois de Mendel. Un nouveau type de transmission des caractères, ne dépendant pas des chromosomes, devait être à l’œuvre, mais ils n’avaient pas réussi à l’élucider.

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Un nouvel ADN à six lettres au lieu de quatre créé au laboratoire

Des biologistes viennent de réussir une prouesse que certains pensaient impossible. Ils ont créé une bactérie dotée d’un ADN semi-synthétique, composé non pas de quatre lettres comme d’ordinaire, mais de six. L’être unicellulaire s’est divisé et ses descendants en ont également profité, laissant entrevoir de nombreuses avancées dans le domaine des biotechnologies.

Des biologistes viennent de réussir une prouesse que certains pensaient impossible. Ils ont créé une bactérie dotée d’un ADN semi-synthétique, composé non pas de quatre lettres comme d’ordinaire, mais de six. L’être unicellulaire s’est divisé et ses descendants en ont également profité, laissant entrevoir de nombreuses avancées dans le domaine des biotechnologies.

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L'évolution de Darwin dans une expérience de 25 ans au laboratoire

C’est sans doute l’une des plus longues expériences de biologie jamais réalisées : depuis maintenant 25 ans, des chercheurs grenoblois cultivent nuit et jour des populations bactériennes provenant d’une même cellule de départ. Leur objectif est d’observer l’effet de l’évolution sur le devenir de ces bactéries. Tous ces efforts ont payé, et les scientifiques ont été témoins d’une histoire évolutive jamais décrite auparavant.

En 1859, Charles Darwin a publié l'hypothèse selon laquelle toutes les espèces vivantes sont le fruit de l’évolution et de l’adaptation de leurs ancêtres. Pourtant, jamais aucun scientifique n’avait vu l’apparition d’une nouvelle lignée cellulaire à partir d’un ancêtre unique de bactérie et d’une seule source nutritive, en environnement constant. C’est maintenant chose faite ! Une nouvelle étude, réalisée par une équipe du CNRS de Grenoble et publiée dans la revue Science, montre que deux nouvelles lignées bactériennes peuvent émerger à partir d’un ancêtre commun puis coexister dans un même tube à essai pendant des dizaines de milliers de générations.

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Science décalée : la musique, une langue pour notre cerveau

On dit souvent de la musique qu’elle est un langage universel. L’expression semble appropriée car notre cerveau recourt aux mêmes zones du cerveau pour activer l’une et l’autre dès lors qu’on est un peu exercé à la pratique d’un instrument…

Pourquoi aime-t-on tant la musique ? Des scientifiques de l’université de Liverpool (Royaume-Uni) apportent de nouveaux éléments en expliquant que cette succession de notes pourrait vraiment nous parler, au sens propre du terme, puisque notre cerveau exercé l’interpréterait comme une langue.

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