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Les scientifiques du Centre universitaire de santé McGill (IR-CUSM) ont identifié une molécule dont la suppression chez les souris améliore le fonctionnement cérébral et la mémoire.
Les scientifiques du Centre universitaire de santé McGill (IR-CUSM) ont identifié une molécule dont la suppression chez les souris améliore le fonctionnement cérébral et la mémoire.
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Et aussi : Des nanoparticules magnétisées pour aider la régénération osseuse ? ; Les musiciens professionnels auraient une meilleure mémoire ; Du curcuma au quotidien dope la mémoire des prédiabétiques.

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Améliorer la mémoire par la suppression d’une protéine ?

Les scientifiques du Centre universitaire de santé McGill (IR-CUSM) ont identifié une molécule dont la suppression chez les souris améliore le fonctionnement cérébral et la mémoire.

« Nos résultats démontrent que le cerveau contient une protéine importante qui limite la production de molécules nécessaires à la formation de la mémoire, explique le docteur Keith Murai, neuroscientifique de l’IR-CUSM, auteur principal d’une étude publiée dans la revue Cell Reports, et professeur agrégé au département de neurologie et de neurochirurgie de l’université McGill. Nous avons constaté que lorsque cette protéine, qui agit comme un frein, est supprimée, le cerveau est capable de stocker plus d’informations. »

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Ebola : l'Inserm propose un test pour un diagnostic rapide

Le virus Ebola poursuit son extension en Afrique de l’Ouest, avec un dernier bilan de plus de 15.000 cas et 5.000 décès. Pour mieux lutter contre cette épidémie, un diagnostic le plus précoce possible est une nécessité. Un test français est dans les starting-blocks.

Présenté par l’Inserm, le test diagnostique rapide du virus Ebola, développé par le Commissariat à l’énergie atomique (CEA), pourrait rapidement être utilisé en Afrique de l’Ouest. En tout cas, il « va être évalué sur le plan clinique dans les semaines qui viennent, sur des échantillons pathologiques, au centre que la Croix-Rouge française vient d’ouvrir à Macenta en Guinée », a indiqué Laurent Bellanger, chef du Laboratoire d’ingénierie cellulaire et biotechnologie du CEA à l’agence de presse Destination Santé. Une bonne nouvelle, car l’attente se fait longue. L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a d’ailleurs rappelé ce mercredi dans un communiqué l’importance de parvenir à mettre au point un test « facile, efficace et peu onéreux » très vite.

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Des nanoparticules magnétisées pour aider la régénération osseuse ?

Des chercheurs de l'université de Keele et de l'université de Nottingham en Angleterre, spécialisés dans la régénération des tissus osseux, ont découvert un traitement potentiel très prometteur. Ils sont parvenus à diriger des nanoparticules magnétisées recouvertes de protéines sur la zone endommagée d'un os afin de stimuler les cellules souches pour le reconstituer. Cette technologie pourrait un jour aider les personnes souffrant de traumatismes osseux ou de maladies telles que l'ostéoporose.

Actuellement, la méthode pour soigner ou réparer des os endommagés qui ne se régénèrent pas d’eux-mêmes est la greffe osseuse à partir d'un prélèvement sur une autre partie du corps. Il s'agit d'une intervention chirurgicale lourde, douloureuse, et qui n’est parfois pas réalisable si la zone à traiter est trop importante ou si le patient souffre d’une maladie du squelette. De plus, la régénération des os greffés passe par un processus post-opératoire appelé mécanotransduction qui convertit un stimulus mécanique en signal électrique et exige donc mouvements et exercice physique. Il provoque un enchaînement d’effets biochimiques, de libération d’hormones, de régénération cellulaire et de croissance des tissus qui vont assurer la guérison. Évidemment, cette thérapie ne fonctionne que si la personne peut bouger…

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Les musiciens professionnels auraient une meilleure mémoire

Des chercheurs en psychologie se sont penchés sur le cerveau de musiciens classiques et ont établi, pour la première fois, un possible lien entre la pratique musicale et une meilleure mémoire à long terme.

« Nous savons que les personnes ayant suivi une formation musicale réussissent à analyser du matériel linguistique plus rapidement que les non-musiciens et des études précédentes avaient également montré que les instrumentistes affichaient une meilleure mémoire de travail », explique Heekyeong Park, professeur assistant à l’Université du Texas d’Arlington, en parlant des résultats d’une étude présentée à l’occasion du congrès annuel de la Society for Neuroscience, à Washington DC.

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Du curcuma au quotidien dope la mémoire des prédiabétiques

Un gramme de curcuma chaque matin pourrait améliorer la mémoire des personnes présentant un risque de déficience cognitive lié au diabète, selon des chercheurs australiens du Monash Asia Institute de l’université de Monash.

Le curcuma, aussi appelé safran des Indes, est un ingrédient très répandu dans la cuisine orientale et asiatique. Sa couleur jaune distinctive provient de la curcumine, le pigment principal du curcuma. Des travaux ont déjà montré ses effets positifs pour réduire les risques de démence.

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