Le Conseil d’Etat acte la dissolution de Baraka City et du CCIF par le gouvernement<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
France
Le ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin, à l'Elysée à l'issue d'un conseil des ministres hebdomadaire, le 22 septembre 2021. Le Conseil d’Etat a validé le 24 septembre la dissolution du CCIF et de Baraka City.
Le ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin, à l'Elysée à l'issue d'un conseil des ministres hebdomadaire, le 22 septembre 2021. Le Conseil d’Etat a validé le 24 septembre la dissolution du CCIF et de Baraka City.
©THOMAS SAMSON / AFP

Ministère de l'Intérieur

Le Conseil d’Etat vient de valider, ce vendredi 24 septembre, la dissolution de Baraka City et du CCIF par le gouvernement. Gérald Darmanin avait demandé la dissolution par le gouvernement du CCIF et de Baraka City à l’automne 2020. Ces organisations avaient été dissoutes après l'attentat ayant ciblé Samuel Paty.

Accusées de faire de la « propagande islamiste », le CCIF et Baraka City avaient été dissoutes par le gouvernement après l’assassinat de Samuel Paty le 16 octobre 2020. Le Conseil d’Etat a validé ce vendredi 24 septembre la dissolution par le gouvernement du Collectif contre l’islamophobie (CCIF) et de Baraka City intervenues à la fin de l’année 2020.

Le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, a salué dans un tweet la décision de la plus haute juridiction administrative, estimant que la lutte contre l’idéologie islamiste avait franchi « une étape décisive ».

Une plainte en diffamation avait été déposée par le CCIF contre Gérald Darmanin en décembre 2020 devant la Cour de justice de la République (CJR). Le ministre avait décrit le collectif comme une « officine islamiste » œuvrant « contre la République » et contre laquelle il fallait « arrêter d’être naïf ». Me Sefen Guez Guez, avocat des associations, avait à l’époque dénoncé des « calomnies » et « une dissolution uniquement politique ».

Sud-Ouest

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !