La liberté des médias en Chine décline à une "vitesse vertigineuse", selon un rapport du Club des correspondants étrangers <!-- --> | Atlantico.fr
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Journalisme

Un constat qui est fait alors que les médias du monde entier tournent leur attention vers les Jeux olympiques d'hiver de Pékin

Le rapport du Club des correspondants étrangers (FCC) de Chine indique que les journalistes y sont victimes d'agressions physiques, de piratage, de phishing et de refus de visa note la BBC.

Des journalistes locaux en Chine continentale et à Hong Kong sont également visés. La Chine a qualifié le FCC d'"organisation illégale"

Le rapport révèle que les journalistes étrangers sont harcelés si sévèrement par es autorités chinoises qu'une poignée de correspondants ont quitté la Chine continentale. D'autres ont été contraints de préparer des plans d'évacuation d'urgence par mesure de précaution.

Et les collègues chinois de journalistes étrangers sont également intimidés par les autorités qui harcèlent leurs familles, selon le rapport.

D'autres journalistes tels que l'Australien Cheng Lei et le ressortissant chinois Haze Fan sont détenus depuis plus d'un an pour des allégations d'implication dans des affaires de sécurité de l'État.

En 2021, le correspondant de la BBC en Chine, John Sudworth, qui a fait de nombreux reportages sur le Xinjiang, a quitté le pays pour Taïwan. Lui et sa famille ont été suivis à l'aéroport et dans la zone d'enregistrement par des policiers en civil.

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