Israël-Hamas : combien de morts depuis la fin de la trêve ?<!-- --> | Atlantico.fr
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Un avion F-35, l'un des modèles employés par l'armée Israélienne - Photo AFP
Un avion F-35, l'un des modèles employés par l'armée Israélienne - Photo AFP
©JACK GUEZ / AFP

Reprise des combats

La trêve humanitaire entre Israël et le Hamas a pris fin ce vendredi 1er décembre 2023. Depuis, l’armée israélienne a indiqué avoir frappé “plus de 400 cibles” à Gaza.

Israël fera “tout pour ramener tous les otages à la maison”, a récemment affirmé Benjamin Netanyahu, le Premier ministre de l’Etat hébreu. “Cette semaine, nous avons ramené 110 personnes en Israël, dont 86 Israéliens”, a-t-il d’ailleurs déclaré le samedi 2 décembre, à l’occasion d’une conférence de presse dont BFMTV se fait l’écho sur son site. Il a aussi assuré que la guerre allait se poursuivre : “Les combats continuent jusqu’à la victoire”. “Nous continueront la guerre jusqu’à ce que nous atteignons tous nos objectifs de guerre”, a-t-il encore précisé.

Depuis la fin de la trêve humanitaire, dont l’accord aurait été rompu par le Hamas d’après le gouvernement de Benjamin Netanyahu, l’armée israélienne a frappé “plus de 400 cibles” situées à Gaza. Le Hamas, à travers la voix de son ministre de la Santé, évoque des frappes ayant fait au moins 240 morts. En représailles, la branche armée de l’organisation ainsi que celle du Jihad islamique affilié ont déclaré avoir tiré “des barrages de roquettes” ce samedi 2 décembre. Celles-ci, poursuit la chaîne d’information en continu, visaient plusieurs villes d’Israël, dont Tel-Aviv. 

Les forces israéliennes ont compté “plus de 250 roquettes” tirées et ont parlé de deux soldats tués samedi. Ce sont, poursuivent nos confrères, les premiers depuis la reprise des combats.

Naturellement, la reprise des combats a engendré un certain nombre de figures politiques à appeler de nouveau à une "trêve durable". C'est le cas du ministre des Armées français, Sébastien Lecornu, ainsi que de la ministre de l'Europe et des Affaires Etrangères, Catherine Colonna. Ils ont signé, explique France Info sur son site, un texte commun pour défendre les positions exprimées par l'Hexagone. Ainsi, estiment-ils, "la France joue un rôle déterminant pour parvenir à la libération des otages"/ Elle doit également tout mettre en oeuvre pour "enrayer l'escalade de violences dans la région et pour défendre ses intérêts et ses valeurs". C'est pourquoi elle appelle, à travers la voix des deux membres du gouvernement, à une nouvelle trêve.

BFMTV

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