Elections législatives : « Le principal enjeu, c'est la lutte contre l'islamo-gauchisme du Nouveau Front populaire », selon Eric Zemmour<!-- --> | Atlantico.fr
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Eric Zemmour lors d'un discours durant la campagne des européennes pour le parti Reconquête.
Eric Zemmour lors d'un discours durant la campagne des européennes pour le parti Reconquête.
©IAN LANGSDON / AFP

Choix du second tour

Le leader du parti Reconquête estime que le principal enjeu des législatives est « la lutte contre l'islamo-gauchisme du Nouveau Front populaire ».

Après les projets avortés d’alliance avec le Rassemblement national et la crise avec Marion Maréchal, le parti d’Eric Zemmour a investi 330 candidats pour les élections législatives du 30 juin et du 7 juillet prochain. Même s’il ne sera pas candidat, Eric Zemmour est mobilisé dans le cadre de la campagne électorale et apporte son soutien aux membres de Reconquête concernés par cette élection.

Interrogé lors du journal télévisé de TF1 sur un potentiel duel entre Les Républicains et le Rassemblement National au second tour des législatives, Eric Zemmour a une nouvelle fois été critique envers le parti de Jordan Bardella qui serait, selon lui, « socialiste sur le plan économique » :

« Nous sommes pour la baisse d’impôts, la baisse des charges pour la lutte contre l’assistanat alors que le RN veut tout le contraire », a déclaré Eric Zemmour.

Le leader de Reconquête a clarifié sa consigne de vote pour le second tour des législatives :

« Entre un RN et un LR au second tour, il n'y aura pas beaucoup de cas de figure. Le principal enjeu c'est la lutte contre l'islamo-gauchisme du Nouveau Front populaire ».

Emmanuel Macron a tenté de mobiliser son électorat ces derniers jours face à la menace de l’extrême droite et de l’extrême gauche dans le cadre de la campagne des législatives :

« Il y a des extrêmes qu'on ne peut pas laisser passer. Je vous le dis en responsabilité, on ne peut pas l'air de rien les laisser monter en se disant « c'est très grave et ça va arriver ». C'est maintenant qu'il faut être responsable ! », a confié le président de la République.

Le Figaro

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