Élections anticipées : Gabriel Attal et Stéphane Séjourné font alliance avec des Républicains dans les Hauts-de-Seine<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
France
Le premier ministre Gabriel Attal et le ministre de l'Europe et des affaires étrangères Stéphane Séjourné au palais de l'Élysée, à Paris, le 24 avril 2024.
Le premier ministre Gabriel Attal et le ministre de l'Europe et des affaires étrangères Stéphane Séjourné au palais de l'Élysée, à Paris, le 24 avril 2024.
©Ludovic MARIN / AFP

Arc républicain

Dans un communiqué, une nouvelle alliance est annoncée entre Gabriel Attal, Stéphane Séjournée et des Républicains dans les Hauts-de-Seine dans le cadre des Élections anticipées qui auront lieu les 30 juin et 7 juillet prochains.

Dans les Hauts-de-Seine, un accord entre des Républicains (LR) et des responsables du camp présidentiel a été scellé, en vue des élections législatives qui se tiendront les 30 juin et 7 juillet prochains suite à la dissolution de l’Assemblée nationale annoncée par Emmanuel Macron dimanche soir. Cet accord concerne notamment le premier ministre, Gabriel Attal, qui se représente à Vanves, et son ministre des Affaires étrangères, Stéphane Séjourné, nouveau candidat à Boulogne-Billancourt et chef du parti Renaissance.

« Nous avons décidé, pour faire barrage aux extrêmes de droite comme de gauche, de créer un arc républicain », ont écrit, dans un communiqué publié jeudi, une série de responsables : Gabriel Attal pour Renaissance, les dirigeants départementaux du Mouvement démocrate (MoDem), d’Horizons, de l’UDI et de LR, ainsi que le président des Hauts-de-Seine, Georges Siffredi.

Par ces accords, ils comptent sauver neuf sièges macronistes et le député LR Philippe Juvin, en ne s’opposant pas au premier tour et en se soutenant en vue du second. Dans ce département, zone de force du camp présidentiel et de la droite modérée, trois circonscriptions sur treize, détenues par la gauche, sont aussi à conquérir.

Le président contesté de LR, Éric Ciotti, qui est lui partisan d'une alliance avec le parti d'extrême droite le Rassemblement national (RN), désavoue ces rapprochements locaux. Pour rappel, Éric Ciotti a été exclu du parti qu'il préside par le bureau politique des Républicains. L'audience en référé pour examiner la validité de cette exclusion s'est ouverte vendredi matin devant le tribunal judiciaire de Paris, en l'absence de l'intéressé.

Le Figaro

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !