DSK : un être "mi-homme, mi-cochon" selon une de ses ex<!-- --> | Atlantico.fr
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La juriste Marcela Iacub a écrit un livre sur sa relation de sept mois avec DSK.
La juriste Marcela Iacub a écrit un livre sur sa relation de sept mois avec DSK.
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C'est du lard ou du cochon ?

La juriste Marcela Iacub a écrit un livre sur sa relation de sept mois avec l'ex-patron du FMI, Dominique Strauss-Kahn, dont Le Nouvel Observateur publie les bonnes feuilles ce jeudi.

Dans son livre "Une société de violeurs ? - DSK, la justice américaine et les femmes en France" paru en Janvier 2012, la juriste Marcela Iacub défendait Dominique Strauss-Kahn. C'est à cette époque que la chercheuse au CNRS, spécialiste de la philosophie des mœurs, a entamé une romance de sept mois avec l'ancien directeur du FMI. Une liaison qu'elle décrit dans "Belle et Bête" à paraître le 27 février, et dont Le Nouvel Observateur publie les bonnes feuilles ce jeudi.

Dans ce livre, elle explique avoir eu une liaison avec DSK "de la fin janvier 2012 au mois d’août de la même année". Et lorsqu'elle évoque le personnage principal, Dominique Strauss-Kahn, elle parle d'un "être double, mi-homme mi cochon". "Ce qu’il y a de créatif, d’artistique chez Dominique Strauss-Kahn, appartient au cochon et non pas à l’homme. L'homme est affreux, le cochon est merveilleux même s’il est un cochon. C’est un artiste des égouts, un poète de l’abjection et de la saleté", explique Marcela Iacub, qui ajoute que dans son livre les "étapes de la liaison" décrites, "les lieux" et les "propos rapportés" sont vrais. 

"Le cochon, c’est la vie qui veut s’imposer sans aucune morale, qui prend sans demander ni calculer, sans se soucier des conséquences, poursuit-elle. […] Le cochon, c’est le présent, le plaisir, l’immédiat, c’est la plus belle chose qui soit, la plus belle part de l’homme." "L’idéal du cochon, c’est la partouze : personne n’est exclu de la fête, ni les vieux, ni les moches, ni les petits. […] Alors que DSK m’a toujours semblé être franchement à droite, ce communisme sexuel auquel il aspire en tant que cochon me réjouit", ajoute encore l'auteur de "Belle et Bête". A vous de juger...

Lu sur Le Nouvel Observateur

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