Ouf…
Philippe Martinez a échappé aux balles israéliennes !
Honte à la soldatesque sioniste.
Benoît Rayski
Benoît Rayski est historien, écrivain et journaliste. Il vient de publier Le gauchisme, maladie sénile du communisme avec Atlantico Editions et Eyrolles E-books.
Il est également l'auteur de Là où vont les cigognes (Ramsay), L'affiche rouge (Denoël), ou encore de L'homme que vous aimez haïr (Grasset) qui dénonce l' "anti-sarkozysme primaire" ambiant.
Il a travaillé comme journaliste pour France Soir, L'Événement du jeudi, Le Matin de Paris ou Globe.
Le patron de la CGT s’est rendu aux côtés des grévistes de Total. Et il leur a dit : « je suis venu ici dès que j’ai pu. Comme vous le savez j’étais en mission en Palestine ».
Une mission périlleuse s’il en est. « J’étais à Naplouse et j’ai dû me faufiler entre les balles israéliennes », a-t-il ajouté. Philippe Martinez sous les balles israéliennes ! Quel courage !
Et qu’est-il allé faire à Naplouse ? Installer là-bas une branche palestinienne de la CGT ? Initier une grève anti-israélienne ? Où peut être montrer plus simplement qu’il était intrépide et qu’il ne craignait pas d’affronter les sionistes.
Pour se rendre à Naplouse, Philippe Martinez a dû prendre l’avion et atterrir à l’aéroport israélien de Ben Gourion. Idem pour le retour. A-t-on essayé de l’assassiner là-bas ? On ne sait. Mais ce qu’on sait, c’est que la réputation de Tsahal est largement surfaite. Car ses soldats visent mal et c’est pour ça que le camarade Martinez est revenu de Naplouse sain et sauf.
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