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Louis Boyard, plus jeune député (LFI/NUPES) de l'Assemblée nationale
Louis Boyard, plus jeune député (LFI/NUPES) de l'Assemblée nationale
©Geoffroy VAN DER HASSELT / AFP

Les méfaits de la drogue ?

On doit cette trouvaille à Louis Boyard, député insoumis.

Benoît Rayski

Benoît Rayski

Benoît Rayski est historien, écrivain et journaliste. Il vient de publier Le gauchisme, maladie sénile du communisme avec Atlantico Editions et Eyrolles E-books.

Il est également l'auteur de Là où vont les cigognes (Ramsay), L'affiche rouge (Denoël), ou encore de L'homme que vous aimez haïr (Grasset) qui dénonce l' "anti-sarkozysme primaire" ambiant.

Il a travaillé comme journaliste pour France Soir, L'Événement du jeudi, Le Matin de Paris ou Globe.

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Il est jeune, très jeune : 21 ans. Et il est le plus jeune député de l’Assemblée nationale. Dans une vie antérieure, avant d’être élu donc, il a, de son propre aveu, dealé de la drogue. Continue-t-il encore ?

On pourrait le penser compte tenu de sa sortie : "Lorsque la Chine a attaqué l’Ukraine...”. Il est possible également qu’il soit fâché avec la géographie, n’ayant pas eu le temps de faire beaucoup d’études.

Mais l’hypothèse la plus plausible est qu’il s’agit d’un lapsus confondant la Russie et la Chine. Ces deux états autoritaires ont en effet bien des choses en commun. Mais du côté de chez Mélenchon, on les aime bien...
Si la langue de Louis Boyard a fourché, la responsabilité en revient à Mélenchon qui ne cesse de vanter les mérites de la Chine. Le mot “Chine”, a force d’être répété, est ainsi entré dans la tête du jeune Louis Boyard.

Il passe son temps à écouter les paroles de son boss. Et il en est victime. Mélenchon va certainement le gronder affectueusement. Mais si Louis Boyard avait dit “lorsque le Venezuela a attaqué l’Ukraine”, il aurait été fouetté.

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