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L'expérience de mort imminente due à une décharge d'ondes cérébrales ? ; Un lien entre anorexie mentale et autisme ?
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Et aussi : Les survivants de l'Holocauste ont une espérance de vie plus longue.

L’expérience de mort imminente due à une décharge d’ondes cérébrales ?

Voir une lumière au bout du tunnel ou la vie défiler devant ses yeux, avoir le sentiment de flotter au-dessus de son corps, etc. Nombreux sont les témoignages concordants d’expérience de mort imminente. Mais peu nombreux sont les éléments scientifiques qui peuvent l’expliquer. Une nouvelle recherche laisse entendre qu’au moment où le cœur lâche, le cerveau, lui, devient hyperactif…

Ils sont des centaines de milliers à travers le monde. Peu importe le pays, le sexe ou la culture d’origine, de nombreux témoignages de personnes ayant vécu une expérience de mort imminente concordent. Victimes d’un arrêt cardiaque ou d’un profond coma qui aurait dû les entraîner vers la mort, certains survivants racontent avoir vu des flashs lumineux, leur vie défiler devant leurs yeux ou ressentir un sentiment de paix et de tranquillité.

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Des staphylocoques dangereux transmis par les vaches

En comparant les séquences de différents isolats de staphylocoques dorés, des chercheurs ont montré que la vache était l’hôte d’origine d’une souche virulente qui sévit dans les hôpitaux du monde. Cette bactérie serait cependant devenue résistante à la méticilline une fois établie chez l’Homme.

Le staphylocoque doré, ou Staphylococcus aureus, est une bactérie particulièrement pernicieuse. Présente chez 20 % des personnes saines, elle peut parfois devenir dangereuse et causer diverses infections, allant du simple furoncle à la septicémie mortelle. Le staphylocoque doré est d’autant plus redoutable qu’il est très difficile à combattre.

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Les survivants de l'Holocauste ont une espérance de vie plus longue

L’espérance de vie des hommes victimes de l’Holocauste serait plus élevée que celle des autres. Ce résultat met en lumière les incroyables capacités psychiques et physiques de l’homme dans des situations extrêmement traumatisantes.

La vie n’est pas un long fleuve tranquille et réserve son lot de surprises et de difficultés diverses. Certains événements traumatisants comme la perte d’un proche, un accident choquant ou un divorce peuvent bouleverser le cours de l’existence. Dans ces situations, il est rare de se relever indemne, et la dépression n'est souvent pas loin. Le stress post-traumatique serait même marqué dans l’ADN. Plus précisément, il affecterait les télomères, c’est-à-dire les séquences non codantes situées aux extrémités des chromosomes, et diminuerait la durée du cycle cellulaire. Les épisodes malheureux altéreraient ainsi l’espérance de vie des individus.

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Un lien entre anorexie mentale et autisme ?

Des spécialistes britanniques de l’autisme ont remarqué, dans une étude, que les adolescentes atteintes d’anorexie souffraient bien plus souvent de troubles autistiques que les filles de leur âge. Ainsi, elles seraient globalement moins empathiques et plus centrées sur elles-mêmes que le reste de la population générale, mais à un niveau moindre qu'observé chez les personnes diagnostiquées autistes.

L’anorexie mentale, c’est bien connu, est un trouble des comportements alimentaires. En effet, les personnes atteintes, très majoritairement des filles, sont obsédées par leur poids et la nourriture. Elles luttent contre la faim pour se maintenir à un poids bien trop faible, car c'est seulement ainsi qu'elles se sentent bien. Cette pathologie potentiellement mortelle semble être la conjugaison de facteurs sociaux, familiaux, génétiques et psychologiques.

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Paludisme : un vaccin prometteur… mais difficile à mettre en place

Un grand pas dans la lutte contre le paludisme vient-il d’être franchi ? Des chercheurs américains ont mis en évidence l’efficacité d’un vaccin contre cette maladie. Selon certains spécialistes, ce résultat est cependant à tempérer, car les problèmes techniques pourraient rendre la vaccination de masse difficile.

Le paludisme est une maladie parasitaire qui touche tout le monde. Les symptômes apparaissent 10 à 15 jours après l’infection, et peuvent d’abord être confondus avec un état grippal : fièvre, maux de tête, frissons et vomissements. En l’absence de traitement, la maladie peut évoluer rapidement vers une forme grave, souvent mortelle. Selon le rapport mondial de 2012 sur le paludisme, 219 millions de personnes seraient infectées et 600.000 en décéderaient chaque année dans le monde.

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