Conflans : sept personnes déférées en vue de l’ouverture d’une information judiciaire, selon le Parquet national antiterroriste<!-- --> | Atlantico.fr
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©CHRISTOPHE SIMON / AFP

Terrorisme

Elles devraient être présentées à un juge antiterroriste en vue d'éventuelles mises en examen tandis que le gouvernement essaie d'appliquer les mesures (dissolutions, fermetures ...) qu'il a annoncées

Dans les personnes déférées après l'attentat de Conflans-Sainte-Honorine, on trouve un parent d'élève qui a critiqué le professeur défunt sur les réseaux sociaux. Ce parent aurait échagé des messages sur WhatsApp, avec l'agresseur d'origine tchétchène. Il y a aussi l'islamiste Abdelhakim Sefrioui, qui a accompagné ce parent quand il est venu se plaindre auprès de la direction du collège.

On trouve aussi deux collégiens qui auraient désigné le professeur à son agresseur après avoir reçu plusieurs centaines d'euros de la part de ce dernier. Les gardes à vue de neuf autres personnes ont en revanche été levées mardi soir, sans qu'elles fassent l'objet de poursuites précise le Figaro.

Par aillurs, Europe 1 constate que les premières mesures annoncées par le gouvernement ne sont pas faciles à mettre en oeuvre : "Du côté des premières perquisitions, elles sont jugées plutôt décevantes car beaucoup d’islamistes s’y étaient préparés depuis longtemps. Et puis, les associations menacées de dissolution, l’ont fait savoir : elles vont se battre sur le terrain du droit, convaincues de gagner. Enfin, les dirigeants de la mosquée de Pantin - que l’Etat va fermer - va se battre en déposant des recours. Un préfet résume le problème : "Les islamistes utilisent la démocratie et l’état de droit pour tuer la France et la République".

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