A l'intérieur de Tchernobyl, vingt-cinq ans après<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts

Tu n'as rien vu à Tchernobyl

A l'intérieur de Tchernobyl, vingt-cinq ans après

Alexis de Gemini a suivi une équipe française à l'intérieur de la zone interdite de la centrale nucléaire. Des images rares.

Le 26 avril 1986, le réacteur n°4 de la centrale de Tchernobyl explose provoquant le plus grand accident nucléaire à ce jour.

Alexis de Gemini a accompagné une équipe française dans ses derniers préparatifs pour construire une arche de protection pour démembrer le réacteur de la centrale maudite en Ukraine. Le document prend une dimension particulière à l'heure où l'on s'interroge sur les conséquences de l'accident nucléaire de Fukushima.

Plus de deux décennies plus tard, des Ukrainiens habitent toujours à proximité de la centrale. La centrale est la partie visible de l’iceberg mais c’est toute une région qui a été souillée pour l’éternité : à côté de la centrale se situe la ville fantôme de Pripyat, l’autre symbole des conséquences de l'accident nucléaire. 48 000 habitants en 1986, elle est aujourd’hui zone interdite. Y rester plus de 20 minutes est dangereux pour la santé. L'endroit est chargé d'une histoire qui a vu des milliers d'hommes se sacrifier pour sauver une partie de l'humanité : les liquidateurs.

Le court-métrage montre les portiques de détection de radioactivité dans la gare locale. Une autre scène édifiante fait entendre la longue liste d'interdictions et de consignes dispensées à l'équipe française lors de son arrivée à Tchernobyl.

Alexis de Gemini est revenu en France avec des images rares filmées à l'intérieur de la zone de l'accident nucléaire. Le démembrement total de la centrale devrait prendre de 70 à 100 ans. 

Vu sur YouTube

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !