Bien manger pourrait aider à moins déprimer ; peurs et traumatismes : une thérapie pour les atténuer en dormant ? <!-- --> | Atlantico.fr
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Des chercheurs ont mis en lumière un lien entre une nourriture grasse et le risque de tomber en dépression.
Des chercheurs ont mis en lumière un lien entre une nourriture grasse et le risque de tomber en dépression.
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Et aussi : Leucémie : une découverte qui pourrait mener à un vaccin ? ; Nouvelle avancée vers un vaccin universel contre la grippe ; La toxoplasmose modifie en profondeur le jeu du chat et de la souris.

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Peurs et traumatismes : une thérapie pour les atténuer en dormant ?

Sujets à des phobies ou à un stress post-traumatique ? Oubliez le psy et restez dans votre lit. Car c’est peut-être durant la nuit qu’agira une thérapie qui vise à éteindre les peurs. Lors d’une expérience préliminaire, elle a plutôt bien fonctionné chez 15 patients.Une peur irraisonnée du vide ou des araignées ?

Un souvenir traumatisant qui continue à hanter les nuits ? Face à ces craintes, les psychologues proposent aujourd’hui des thérapies par l’exposition. Il s’agit de confronter le patient à l’objet de ses angoisses dans une situation sans danger, afin de faire progressivement disparaître son anxiété. Mais pour certains, la démarche est un véritable calvaire. Que faire ?

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Bien manger pourrait aider à moins déprimer

Selon une nouvelle étude, des chercheurs ont mis en lumière un lien entre une nourriture grasse et le risque de tomber en dépression. Voici donc une raison supplémentaire pour surveiller ce que l’on met dans nos assiettes.

La dépression est une maladie qui se caractérise par un profond désarroi et un manque de goût pour la vie. Elle peut frapper brusquement suite à un traumatisme ou s’insinuer dans le quotidien. En plus des symptômes psychologiques qui rendent les journées difficiles, elle augmente le risque de développer certaines pathologies comme les cancers ou les problèmes cardiaques.

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Leucémie : une découverte qui pourrait mener à un vaccin ?

Les personnes en bonne santé disposent de cellules immunitaires en mesure de reconnaître et de tuer les cellules leucémiques, alors que celles de certains des patients atteints par ce cancer du sang n'en sont plus capables. Et si stimuler l’immunité contre certains antigènes tumoraux spécifiques pouvait protéger de cette maladie ?

Notre système immunitaire garde les cicatrices des infections passées. C’est sur ce principe que se base d’ailleurs la vaccination. En effet, après avoir été stimulées, les défenses de l’organisme se préparent à une autre attaque, et maintiennent des populations cellulaires combattantes en mesure de reconnaître l’élément étranger en cas de réapparition : ce sont les lymphocytes à mémoire.

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Nouvelle avancée vers un vaccin universel contre la grippe

Des chercheurs britanniques ont profité de la pandémie de grippe A(H1N1) pour étudier les paramètres physiologiques préservant certaines personnes des formes sévères de la maladie. L’agressivité du virus dépend d’un type particulier de cellule immunitaire, les lymphocytes T CD8.

De quoi laisser présager un vaccin universel contre toutes les autres formes de grippe.L’automne va s’installer et le virus de la grippe réapparaîtra progressivement. Comme tous les ans. Pour endiguer au mieux cette menace, les autorités sanitaires proposent une campagne de vaccination, essentielle pour les populations fragiles et susceptibles de déclarer des formes sévères de la grippe, voire d’en mourir. Chaque année, il faut renouveler le vaccin, car le virus modifie les protéines de surface contre lesquelles on s’immunise.

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La toxoplasmose modifie en profondeur le jeu du chat et de la souris

On savait que le parasite responsable de la toxoplasmose altérait le comportement des souris au point de supprimer chez elles leur peur instinctive des chats. Une nouvelle étude vient de montrer que même une fois le pathogène éliminé de l’organisme, les rongeurs ne sont plus effrayés par leurs prédateurs naturels. Des résultats qui plaident pour une modification plus profonde du cerveau par le parasite, et qui pourrait nous pousser à revoir le rapport qu’il entretient avec la schizophrénie.

La manipulation mentale existait bien avant les romans de science-fiction. La présence de parasites dans un organisme peut modifier en profondeur les comportements de l’hôte. Ainsi, des gammares (ou puces de mer) se mettent à remonter vers la lumière et donc à la portée des oiseaux qui les mangent lorsqu’ils sont parasités par un ver, puis en profitent pour atteindre leur hôte. Idem pour les sauterelles et les grillons qui entreprennent subitement de se jeter à l’eau et de s'y noyer, sous la contrainte, pour permettre à leur parasite de nager jusqu’à sa prochaine cible.

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