Victoire de l’Algérie en Coupe arabe de football : plus de 400 verbalisations et 25 gardes à vue<!-- --> | Atlantico.fr
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Des supporters algériens célèbrent la victoire de leur équipe lors d'un match de football, le 11 juillet 2019 sur les Champs-Élysées à Paris
Des supporters algériens célèbrent la victoire de leur équipe lors d'un match de football, le 11 juillet 2019 sur les Champs-Élysées à Paris
©DOMINIQUE FAGET / AFP

Nombreux accidents

De nombreux accidents ont éclaté après la victoire de l’Algérie en finale de la Coupe arabe de football, notamment sur les Champs-Élysées

L’Algérie a décroché samedi soir le premier titre de son histoire lors de la Coupe arabe de football, en s’imposant 2-0 face à la Tunisie. 

Après le coup de sifflet final, environ 400 supporters algériens se sont massés dans le quartier de Barbès, dans le 18ème arrondissement de la capitale. Ils se sont dispersés vers 23 heures, sans heurts. 

Au même instant, un flot important de supporters se sont dirigés vers les Champs-Élysées, malgré l’interdiction émise par la préfecture de police de Paris. A 21h15, 130 supporters ont été verbalisés pour le non-respect de cet arrêté préfectoral. 

Sur place, la situation était assez tendue et les forces de l’ordre ont été contraintes de charger les supporters à plusieurs reprises. Sur la place de l’Étoile, la circulation était bloquée par plusieurs centaines de véhicules. 

En Seine-Saint-Denis, la situation était bien plus tendue. De nombreuses échauffourées ont éclaté entre supporters et forces de l’ordre dans les secteurs de Pantin, Aubervilliers, Saint-Denis ou encore Montreuil. Les commissariats d’Aubervilliers et de Clichy-sous-Bois ont même essuyé des tirs de mortiers d’artifice. Un véhicule administratif a été légèrement endommagé. 

Le bilan définitif de la soirée fait était de 432 verbalisations, 32 interpellations et 25 gardes à vue, la plupart pour « participation à un groupement formé en vue de la commission de violences ou de dégradations, d’outrages et de violences volontaires sur personnes dépositaires de l’autorité publique (PDAP) », selon le Parquet de Paris. 

Le Parisien

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