Valérie Trierweiler : "Je m'investis, avec sincérité tout en restant moi-même"<!-- --> | Atlantico.fr
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Au fort de Brégançon, "la moindre sortie se transforme en bain de caméras", estime Valérie Trierweiler.
Au fort de Brégançon, "la moindre sortie se transforme en bain de caméras", estime Valérie Trierweiler.
©Reuters

Une première dame normale ?

Dans un entretien accordé au Parisien ce dimanche, la compagne du chef de l'Etat revient sur sa première année à l'Elysée.

Alors que le couple présidentiel est en vacances au pavillon de la Lanterne, à proximité du château de Versailles, Valérie Trierweiler revient sur sa première année à l'Elysée dans un entretien accordé au Parisien ce dimanche. "J’essaie de garder les pieds sur terre", affirme la compagne de François Hollande, "être mère d’ados, je vous assure, empêche de se couper des réalités !" Et d'ajouter : "cette période m’a été nécessaire pour mieux appréhender mon rôle. [...] Je m’investis, avec sincérité tout en restant moi-même".

Dans cette interview, elle explique aussi le choix du président d'aller passer une semaine de vacances au pavillon de la Lanterne, plutôt qu'au fort de Brégançon (Var). Le première dame estime que le lieu officiel de villégiature du chef de l'Etat est "un endroit très beau mais où il est difficile de conserver un peu d'intimité". "La moindre sortie se transforme en bain de caméras et peut donner l'impression que nous cherchons à nous exposer. Ce n'est pas notre conception de la vie de couple, que nous protégeons du mieux possible", ajoute-t-elle.

"La Lanterne a l'avantage d'être près de Paris. [...] L'endroit est doté de la logistique indispensable à un chef d'Etat qui veut rester réactif", explique Valérie Trierweiler, qui estime qu'un "faux procès" a été fait à François Hollande l'an passé "en lui reprochant de s’accorder trop de temps libre alors qu’il passait la plus grande partie de la journée dans son bureau de Brégançon".

Lu sur Le Parisien

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