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Second procès pour Alexandre Benalla et trois personnes après les violences commises lors du 1er mai 2018
©AFP

Justice

Après avoir été renvoyé en correctionnelle pour utilisation frauduleuse de passeports diplomatiques et de service, M. Benalla est renvoyé en correctionnelle pour "violences volontaires" lors de manifestations place de la Contrescarpe qui ont eu lieu en 2018.

Cette affaire avait fait grand bruit lors de sa révélation par le journal Le Monde le 18 juillet 2018. Dans une vidéo, Alexandre Benalla, ancien collaborateur d'Emmanuel Macron avait été identifié dans une vidéo tournée par Taha Bouhafs en train de s'en prendre à un homme à terre sur la place de la Contrescarpe à Paris. Suite à cela, l'événement se transforme en scandale politique créant l'une des crises majeures de la présidence Macron. 

Aujourd'hui, M. Benalla ainsi que Vincent Crase, ex-salarié de La République en marche, sont renvoyées devant le tribunal correctionnel. Selon une source de franceinfo, l'audience est prévue le 4 mai 2021 au tribunal correctionnel de Paris. Les accusés sont accusés de "violences volontaires en réunion", "port d'arme de catégorie B" et "port public et sans droit d'un insigne réglementé par l'autorité publique". 

Les deux autres personnes sont Laurent Simonin, chef d'état-major adjoint de la Direction de l'ordre public et de la circulation (DOPC) de la préfecture de police et Maxence Creusat, commissaire de police. Dans cette affaire, ils sont soupçonnés d'avoir "fait accéder des personnes non habilitées aux images d'une vidéo-protection et utilisé des images de vidéo-protection à d'autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées". 

France Info

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