Retraites : «Je sais qu'ici il n'y a pas de ZAD, il n'y a que la République», dit Attal au Sénat<!-- --> | Atlantico.fr
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Devant les parlementaires de la Chambre Haute, le jeune locataire de Bercy n'a pas hésité à s'en prendre violemment à l'Assemblée nationale pour mieux défendre le Palais du Luxembourg.
Devant les parlementaires de la Chambre Haute, le jeune locataire de Bercy n'a pas hésité à s'en prendre violemment à l'Assemblée nationale pour mieux défendre le Palais du Luxembourg.
©JOEL SAGET / AFP

Débats

Après des discussions chaotiques à l'Assemblée en février, le ministre des Comptes publics a loué, en ouverture des débats, les qualités qu'il attribue à la Chambre Haute.

Lors de son discours en ouverture de l'examen, par le Sénat, du projet de réforme des retraites de l'exécutif, le ministre des Comptes publics, Gabriel Attal, a loué toutes les qualités de son auditoire. Devant les parlementaires de la Chambre Haute, le jeune locataire de Bercy n'a pas hésité à s'en prendre violemment à l'Assemblée nationale pour mieux défendre le Palais du Luxembourg. «Je sais qu'ici, il n'y a pas de ZAD (zone à défendre, ndlr), il n'y a que la République», a-t-il martelé à la tribune, pour dénoncer la manière chaotique dont s'étaient déroulés les débats au Palais Bourbon courant février.

«Je sais qu'ici, par-delà les divergences politiques, on s'écoute. Je sais qu'ici, par-delà les oppositions de fond, on débat. Je sais qu'ici, par-delà les parcours de chacun, on se respecte», a ainsi énuméré le ministre. Avant de se dire «tenté d'espérer qu'après le vacarme et l'obstruction des extrêmes, s'ouvre à cet instant le temps de la sagesse et de la raison». Gabriel Attal a également formulé le vœu de «trouver un compromis» sur le texte, qui permettra selon lui aux Français de conserver les acquis de l'actuel système par répartition, «sans impôts en plus, ni retraites en moins».

Le Figaro

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