Réseaux sociaux : la Cour suprême des États-Unis a validé la plainte de WhatsApp contre NSO <!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
High-tech
La Cour suprême des Etats-Unis a approuvé la plainte de WhatsApp contre le groupe NSO, à l'origine du logiciel espion Pegasus.
La Cour suprême des Etats-Unis a approuvé la plainte de WhatsApp contre le groupe NSO, à l'origine du logiciel espion Pegasus.
©MANJUNATH KIRAN / AFP

WhatsApp et les logiciels espions

Le lundi 9 janvier, la Cour suprême des Etats-Unis a approuvé la plainte de WhatsApp contre le groupe NSO, à l'origine du logiciel espion Pegasus.

Première victoire pour WhatsApp. Le 9 janvier, la Cour suprême des États-Unis a autorisé la plateforme du groupe Meta à intenter une action en justice accusant le groupe israélien NSO. Celui-ci aurait exploité un problème dans l'application de messagerie de WhatsApp pour installer un logiciel espion permettant la surveillance de 1 400 personnes, dont des journalistes, des militants des droits de l'Homme et des dissidents.

Le développeur du logiciel espion avait déjà tenté de mettre fin aux poursuites à son encontre. Cependant, les juges ont rejeté l'appel du groupe israélien contre la décision d'un tribunal inférieur selon laquelle le procès pouvait aller de l'avant. NSO avait fait valoir qu'il était à l'abri d'être poursuivi car il agissait en tant qu'agent pour des gouvernements étrangers non identifiés lorsqu'il a installé le logiciel espion "Pegasus".

Meta, la société mère de WhatsApp et de Facebook, a salué dans un communiqué la décision du tribunal de rejeter l'appel "sans fondement" du groupe israélien. "Les logiciels espions de NSO ont permis des cyberattaques ciblant des militants des droits de l'homme, des journalistes et des responsables gouvernementaux", a déclaré Meta. "Nous croyons fermement que leurs opérations violent la loi américaine et qu'ils doivent être tenus responsables de leurs opérations illégales."

À Lire Aussi

390 millions d'euros d’amende : l’UE sanctionne Meta pour des pratiques publicitaires illégales
Reuters

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !