Marlène Schiappa critique l'Unef qui a mis en danger deux professeurs accusés d'islamophobie en diffusant des photos d'affiches montrant leurs noms<!-- --> | Atlantico.fr
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Marlène Schiappa
Marlène Schiappa
©Capture d'écran RMC/BFMTV

Islamisme

La ministre déléguée chargée de la Citoyenneté dénonce des actes odieux après ce qui s’est passé avec la décapitation du professeur Samuel Paty

La ministre déléguée chargée de la Citoyenneté, Marlène Schiappa , a déploré ce matin, sur BFMTV-RMC une mise en pâture de deux professeurs sur les réseaux sociaux, de Sciences Po Grenoble, quelques semaines seulement après l'assassinat de Samuel Paty.

Des affichettes mettant nommément en cause, les deux enseignants, ont été collées dans l'enceinte de l'établissement, entraînant l'ouverture d'une enquête pour "injure publique" et "dégradation".

Parlant de la loi sur le séparatisme Marlène Schiappa a ajouté : "Il y a une partie de la loi pour conforter les principes républicains, dite loi séparatisme, qui vise à mieux protéger les professeurs et enseignants, notamment lorsqu’on divulgue des informations personnelles et des appels à la haine sur les réseaux sociaux",

"On ne peut pas commencer à dire qu'on va faire la justice en écrivant le nom des gens sur les murs, surtout quand on sait que derrière il y a un risque de mort", a-t-elle remarqué "Je lance un appel à la responsabilité notamment par rapport à l'Unef, l'Unef a une responsabilité : on ne peut pas relayer des appels à la haine et des choses aussi graves"

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