Lors d’une nouvelle tournée africaine, Lavrov vilipende « l'Occident » qui veut « imposer son mode de démocratie »<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
International
Après avoir fait étape en Guinée puis au Congo-Brazzaville, le ministre russe des Affaires étrangères doit se rendre au Tchad, autre pays proche de la France.
Après avoir fait étape en Guinée puis au Congo-Brazzaville, le ministre russe des Affaires étrangères doit se rendre au Tchad, autre pays proche de la France.
©Alexander Zemlianichenko / POOL / AFP

Visite

Après avoir fait étape en Guinée puis au Congo-Brazzaville, le ministre russe des Affaires étrangères doit se rendre au Tchad, autre pays proche de la France.

Le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov a entamé une nouvelle tournée africaine. La Guinée, la première, a accueilli lundi le chef de la diplomatie russe, marquant ainsi la première visite de ce dernier à Conakry depuis 2013.

Ce dernier a été accueilli à l'aéroport international par son homologue guinéen Morissanda Kouyaté avec qui il a eu une discussion à huis clos. Puis il a rencontré le chef de la junte Mamadi Doumbouya, arrivé au pouvoir après un coup d'État en 2021. «Nous n'avons pas oublié la coopération militaro-technique et le renforcement des capacités de défense de la Guinée, compte tenu notamment de la menace terroriste croissante», a déclaré Sergueï Lavrov, cité par l'agence Interfax.

Selon une vidéo diffusée sur le site du ministère russe, Sergueï Lavrov a fait une déclaration félicitant ce pays d'Afrique de l'Ouest et son dirigeant pour avoir été «à l'avant-garde du processus de décolonisation». Il a également évoqué la coopération économique, notamment dans le domaine de l'exploration géologique et au travers des investissements de la société Rusal, «plus gros investissement russe en Guinée». Il a vanté les programmes sociaux du géant russe de l'aluminium, soulignant qu'il fournissait un emploi à «des milliers de personnes» dans ce pays pauvre malgré ses vastes ressources naturelles et minérales.

Le Figaro

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !