La banalisation et la crédibilisation de Marine Le Pen restent inachevées selon une étude de la Fondation Jean-Jaurès<!-- --> | Atlantico.fr
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Fondation Jean-Jaurès
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©Fondation Jean-Jaurès

Présidentielle 2022

Selon Gilles Finchelstein, le directeur général de la Fondation Jean-Jaurès

Gilles Finchelstein, le directeur général de la Fondation Jean-Jaurès écrit dans Le Monde "Le premier tour de l’élection présidentielle a constitué, à l’évidence, un succès électoral pour Marine Le Pen. Elle a résisté à l’irruption d’Eric Zemmour. Elle a progressé tout au long de la campagne  (...) obtenu un score historique (23,15 % des suffrages) et bénéficie, pour la première fois, de réserves électorales."

"Sa victoire au second tour devenant une hypothèse plausible, il reste à mesurer jusqu’à quel point la stratégie de banalisation et de crédibilisation a fonctionné"  ajoute Gilles Finchelstein qui s'appuie sur la dixième vague du panel électoral.

"Les sondés reconnaissent largement (46 %) la capacité de Mme Le Pen à « comprendre les problèmes des gens comme eux ». Les personnes interrogées estiment très majoritairement (63 %) que la candidate du Rassemblement national (RN) veut « vraiment changer les choses » – sans dire, et c’est une nuance de poids, qu’elle veut les changer dans la bonne direction".

"Le bilan est plus mitigé s’agissant de son image personnelle : d’un côté 27 % du panel seulement disent « apprécier » Marine Le Pen contre 51 % qui affirment « ne pas l’apprécier ». Ce dernier chiffre était de 59 % en 2017" ajoute

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