« Je ne souhaite pas être le premier ministre de Macron », affirme Gérard Larcher aux sénateurs LR<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
Politique
Gérard Larcher, pressenti par certain pour être le futur chef du gouvernement, assure que son engagement aux côtés de François-Xavier Bellamy est « total »
Gérard Larcher, pressenti par certain pour être le futur chef du gouvernement, assure que son engagement aux côtés de François-Xavier Bellamy est « total »
©Thomas COEX / AFP

Bruits de couloir

Le nom de Gérard Larcher est pressenti par certain pour être le futur chef du gouvernement. Ce dernier a toutefois assuré que son engagement aux côtés de la tête de liste LR François-Xavier Bellamy est « total ».

Gérard Larcher ne souhaite « pas être le premier ministre d'Emmanuel Macron » , ont indiqué des participants à l'AFP. « Je veux faire taire aujourd'hui un certain nombre de rumeurs dont on connaît les origines et destinées à affaiblir notre camp à la veille des élections européennes », a affirmé le  président du Sénat, assurant que son engagement aux côtés de la tête de liste LR François-Xavier Bellamy est « total ».

Selon les mêmes sources, Gérard Larcher s'est non seulement engagé à poursuivre sa « tâche dans une institution qui reste le seul contrepouvoir de la République », mais il a brandi la menace d'un appel aux députés LR à voter une motion de censure à la rentrée « si le budget de 2025 est dans la même trempe que celui de 2024 ». Il tempère toutefois, affirmant que des circonstances exceptionnelles pourraient altérer cette analyse. « Pour être définitivement clair: oui dans une crise, si crise il devait y avoir, la décision appartient au président de la République. Je ne fais que le constat de ce que prévoit la Constitution », a-t-il dit.la

Dans un entretien à l'AFP, le président du Sénat avait souligné « qu'il faudra bien qu'on apporte une réponse » après les élections européennes. De quoi nourrir les spéculations sur l'idée d'une éventuelle coalition entre la droite et la majorité. « Tout le monde bruisse de rendez-vous secrets. Depuis le 7 mars (date de son dernier entretien avec Emmanuel Macron, ndlr), il n'y en a pas eu. Je ne suis demandeur de rien », avait-il aussi affirmé.

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !