Guerre en Ukraine : Sergueï Choïgou responsable de « plus de 355.000 victimes » dans l'armée russe, affirme Londres<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
International
Vladimir Poutine, accompagné Sergueï Choïgou (en premier plan)
Vladimir Poutine, accompagné Sergueï Choïgou (en premier plan)
©Mikhail KLIMENTYEV / SPUTNIK / AFP

Limogeage

Le ministre russe de la Défense, qui était en poste depuis 2012, a été limogé dimanche par Vladimir Poutine. Il est remplacé par Andreï Belooussov, un économiste.

Sergueï Choïgou, ministre russe de la Défense limogé dimanche par Vladimir Poutine, est responsable de « plus de 355.000 victimes », des morts et des blessés, « parmi ses propres soldats » dans la guerre en Ukraine, affirme son homologue britannique Grant Shapps.

« Sergueï Choïgou a causé plus de 355.000 victimes (morts et blessés, NDLR) parmi ses propres soldats et des souffrances massives parmi les civils dans le cadre d'une campagne illégale en Ukraine» , a écrit sur le réseau social X Grant Shapps. « La Russie a besoin d'un ministre de la Défense capable d'annuler cet héritage désastreux et de mettre fin à l'invasion, mais tout ce qu'elle obtiendra, c'est une autre marionnette de Poutine », précise le ministre.

En poste depuis 2012, Sergueï Choïgou a été limogé dimanche soir lors d'un remaniement surprise en profondeur, quelques jours après l'investiture du président russe pour un cinquième mandat au Kremlin. Il est remplacé par Andreï Belooussov, un économiste qui n'a pas de bagage militaire. Ce remaniement intervient au moment où l'armée russe avance dans la région ukrainienne de Kharkiv, quelques jours après avoir lancé un assaut terrestre, et accentue sa pression dans le Donbass, autour de Tchassiv Iar.

Le Figaro

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !