Discours de Joe Biden à l'ONU : les Etats-Unis "ne cherchent pas une nouvelle guerre froide"<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
International
Le président américain Joe Biden s'adresse à la 76e session de l'Assemblée générale des Nations Unies, le 21 septembre 2021, à New York.
Le président américain Joe Biden s'adresse à la 76e session de l'Assemblée générale des Nations Unies, le 21 septembre 2021, à New York.
©EDUARDO MUNOZ / PISCINE / AFP

Diplomatie

Le président américain Joe Biden a prononcé un discours durant l'Assemblée générale des Nations unies, à New York, ce mardi 21 septembre 2021. Il a promis d'ouvrir une "ère de diplomatie" après la fin de la guerre en Afghanistan, assurant que la force militaire ne serait utilisée par les Etats-Unis qu'en "dernier recours".

Joe Biden a prononcé un discours lors de l'Assemblée générale de l'ONU, ce mardi 21 septembre, alors que les décisions américaines en Afghanistan ou dans le dossier du contrat du siècle concernant la vente de sous-marins entre la France et l'Australie ont été beaucoup critiquées ces dernières semaines.
Lors de son allocution durant l'Assemblée générale de l'ONU, Joe Biden a indiqué ce mardi que les Etats-Unis "ne cherchent pas une nouvelle guerre froide. Nous ne cherchons pas (...) un monde divisé en blocs". En revanche, les Etats-Unis défendront leur place dans le monde "vigoureusement". 
Selon Joe Biden, "les Etats-Unis sont prêts à travailler avec toute nation qui s'engage et recherche une résolution pacifique pour partager les défis, même si nous avons des désaccords intenses dans d'autres domaines".
Joe Biden a fait la promesse de "défendre la démocratie" et d'ouvrir une "ère de diplomatie" après la fin de la guerre en Afghanistan. Le président américain a assuré que la force militaire ne serait utilisée par les Etats-Unis qu'en "dernier recours" :
"Avec nos valeurs et notre force, nous allons défendre nos alliés et nos amis, et nous opposer aux tentatives des pays plus forts de dominer les plus faibles". 
Dans le cadre de la récente crise des sous-marins, Paris a rappelé ses ambassadeurs à Washington et à Canberra, après l'annulation par l'Australie d'un contrat portant sur l'achat de 12 sous-marins français au profit d'un pacte de sécurité avec les Etats-Unis et le Royaume-Uni.

À Lire Aussi

Seule au monde ? La France face au vertige de son destin géopolitique

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !