Crise des sous-marins : l'entreprise française Naval Group va transmettre la facture à l'Australie <!-- --> | Atlantico.fr
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Le PDG de Naval Group, Pierre Eric Pommellet, pose le 29 mars 2021 à Lorient, dans l'ouest de la France.
Le PDG de Naval Group, Pierre Eric Pommellet, pose le 29 mars 2021 à Lorient, dans l'ouest de la France.
©FRED TANNEAU / AFP

Explications

Pierre Eric Pommellet, le PDG de Naval Group, s'est confié dans les colonnes du Figaro après la rupture du "contrat du siècle" par l'Australie.

Pierre Eric Pommellet, le PDG de Naval Group, a l'intention de remettre "dans quelques semaines" à l'Australie une "proposition détaillée et chiffrée" des "coûts déjà engagés et à venir" après la rupture du gigantesque contrat pour la construction de 12 sous-marins. Pierre Eric Pommellet s'est confié sur ce dossier dans les colonnes du Figaro :  
"L'Australie a résilié le contrat pour "convenance", ce qui veut dire d'ailleurs que nous ne sommes pas en "faute". C'est un cas qui est prévu dans le contrat et qui donnera lieu à un paiement de nos coûts engagés et à venir, liés à la "démobilisation" physique des infrastructures et informatique ainsi qu'au reclassement des employés. (...) Nous ferons valoir tous nos droits". 
Naval Group avait été sélectionné en 2016 pour fournir 12 sous-marins dérivés des sous-marins nucléaires français Barracuda.
Le 15 septembre, l'Australie a annoncé qu'elle rompait ce contrat pour finalement se doter de sous-marins à propulsion nucléaire dans le cadre d'un nouveau partenariat dans la région indopacifique, avec les Etats-Unis et le Royaume-Uni.
Selon Pierre Eric Pommellet au Figaro, "cette décision nous a été annoncée sans aucun préavis, avec une brutalité inouïe".
France Info - Le Figaro

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