COP27 : le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, estime que l'humanité doit choisir entre « solidarité » et « suicide collectif »<!-- --> | Atlantico.fr
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Une vue de l'entrée du Centre international de conventions de Charm El-Cheikh, le 6 novembre 2022, lors de la Conférence des Nations Unies (COP27) sur le changement climatique.
Une vue de l'entrée du Centre international de conventions de Charm El-Cheikh, le 6 novembre 2022, lors de la Conférence des Nations Unies (COP27) sur le changement climatique.
©JOSEPH EID / AFP

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Antonio Guterres s'est exprimé en ouverture des débats de la COP27, en Egypte, à Charm el-Cheikh. Les dirigeants du monde entier réunis dans le cadre de ce sommet sur l’environnement et la lutte contre le réchauffement climatique.

La COP27 a officiellement débuté en Egypte. Près de 110 chefs d'Etat et de gouvernement doivent s'exprimer le lundi 7 et le mardi 8 novembre devant les délégués réunis à Charm el-Cheikh, en Egypte, pour la 27e conférence mondiale sur le climat de l'ONU. Le secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres, a estimé ce lundi que l'humanité devait choisir entre « solidarité » et « suicide collectif ». Il a tenu à alerter les dirigeants et les citoyens du monde entier face à la menace et aux conséquences du réchauffement climatique :  

« Nous sommes sur l'autoroute vers l'enfer climatique, avec le pied toujours sur l'accélérateur ».

Il a donc appelé le monde à choisir entre « la solidarité » et « un suicide collectif ».

Emmanuel Macron a déclaré, à l’occasion de la COP27, qu’il voulait « mettre la pression » sur les « pays riches non européens », et notamment les Etats-Unis, pour qu'ils payent leur « part » pour aider les pays pauvres face au changement climatique.

La question du financement des dégâts inévitables déjà causés par le changement climatique va aussi être abordée, selon l'agenda adopté à l'ouverture de la COP27.

Les pays pauvres et vulnérables, peu responsables du réchauffement mais très exposés à ses conséquences dévastatrices, insistaient depuis des mois afin que cette question soit inscrite à l'ordre du jour.

France Info

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