CNews : « l'Arcom n'est ni la police de la pensée ni un tribunal d'opinion », se défend le patron du régulateur des médias<!-- --> | Atlantico.fr
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Le patron de l'Arcom, Roch-Olivier Maistre.
Le patron de l'Arcom, Roch-Olivier Maistre.
©AFP / BERTRAND GUAY

Pluralisme

«Il n'y aura pas de catalogage des journalistes et invités», a tenu à préciser Roch-Olivier Maistre ce dimanche, réagissant pour la première fois à la décision du Conseil d’État sommant l’Arcom de durcir son contrôle en matière de pluralisme de l'information.

Rappelant que le Conseil d’État demande désormais à l’Arcom d’apprécier le pluralisme de l’information «en prenant en compte l'ensemble des participants» d’un média audiovisuel, «notamment les chroniqueurs, animateurs et invités», le patron de l'Arcom, Roch-Olivier Maistre, a affirmé dans un entretien à La Tribune Dimanche : «Il ne nous est pas demandé de comptabiliser chacun des intervenants. Il n'y aura pas de catalogage des journalistes et invités», précise le patron de l'Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique, ajoutant qu’il «s'agira d'une appréciation globale sur l'ensemble des programmes diffusés».

«L'Arcom n'est ni la police de la pensée ni un tribunal d'opinion», estime-t-il, soulignant que «cette décision ne concerne pas seulement CNews, mais l'ensemble des médias audiovisuels, qu'ils soient publics ou privés».

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