Bardella promet de dissoudre « toutes les organisations d’ultragauche et d’ultradroite » s’il devient premier ministre<!-- --> | Atlantico.fr
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Des membres du groupe politique étudiant français GUD lors d'un rassemblement à Paris, le 8 mai 2011.
Des membres du groupe politique étudiant français GUD lors d'un rassemblement à Paris, le 8 mai 2011.
©THOMAS SAMSON / AFP

Dont le GUD

Jordan Bardella assure qu’il n’aura « aucune forme de tolérance à l’égard de ceux qui se livrent à la violence dans notre pays », s’il accède à Matignon.

Interrogé sur le plateau de BFMTV ce mercredi, le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin a annoncé qu’il allait « proposer au président de la République » la dissolution du GUD (Groupe Union Défense, ndlr), un syndicat étudiant d’ultradroite connu pour ses actions violentes.

Jordan Bardella s’est approprié la proposition dans la foulée, en visite au salon de défense Eurosatory. « Si demain je suis à la tête du pays, je n’aurai aucune forme de tolérance à l’égard de ceux qui se livrent à la violence dans notre pays. Les organisations d’ultragauche et d’ultradroite seront dissoutes », a-t-il affirmé. Sans manquer de racler le gouvernement : « je ne tolère pas la violence dans notre société et, à la différence du gouvernement, nous n’avons jamais eu de mansuétude à l’égard de milices qui perturbent les mobilisations sociales, qui s’en prennent aux forces de l’ordre, qui cassent et qui menacent la paix civile dans notre société ». 

Le GUD, réactivé récemment, est accusé par Gérald Darmanin d’être « un groupe très ami avec beaucoup de gens du Rassemblement national ». Une attaque ignorée par Jordan Bardella, qui préfère renvoyer la balle à son détracteur : « Je pense qu’il devrait, au regard du bilan qui est le sien, être appelé à un peu plus d’humilité et commencer à faire ses cartons ».

Le Figaro

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