Olivier Faure a vu un chien et un migrant uriner contre un mur : et il préfère le migrant au chien...<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
Politique
Olivier Faure a vu un chien et un migrant uriner contre un mur : et il préfère le migrant au chien...
©JEAN-FRANCOIS MONIER / AFP

A la niche !

C’est Brigitte Bardot qui ne va pas être contente.

Benoît Rayski

Benoît Rayski

Benoît Rayski est historien, écrivain et journaliste. Il vient de publier Le gauchisme, maladie sénile du communisme avec Atlantico Editions et Eyrolles E-books.

Il est également l'auteur de Là où vont les cigognes (Ramsay), L'affiche rouge (Denoël), ou encore de L'homme que vous aimez haïr (Grasset) qui dénonce l' "anti-sarkozysme primaire" ambiant.

Il a travaillé comme journaliste pour France Soir, L'Événement du jeudi, Le Matin de Paris ou Globe.

Voir la bio »

Le premier secrétaire du PS a une chienne qui répond au doux nom d’Olympe (« comme Olympe de Gouges », a-t-il précisé), un moyen sûr de s’attirer la sympathie des féministes. Un jour, il est sorti promener Olympe. Et il a rencontré une dame dont le chien urinait contre un mur. A  côté de son toutou, il y avait un migrant qui urinait également contre le mur.

La dame, manifestement raciste, lui a dit : « regardez ce que font ces gens-là ». Olivier Faure s’est servi de cette anecdote pour déclarer qu’il choisissait le migrant plutôt que le chien. Car, a-t-il dit, «  je préfère les êtres humains ».

Venant d’un homme de gauche, le parallèle entre un chien et un migrant peut surprendre. Il est pour le moins fâcheux et peu flatteur. Mais avec Olivier Faure, la bêtise n’est jamais loin. On ne sait pas ce qu’Olympe pense du désamour de son maître. Mais peut-être qu’elle a fait une dépression. Pourtant, selon le dicton bien connu «  le chien est le meilleur ami de l’homme ».

Olivier Faure n’a pas raconté la suite de cette histoire. On ignore donc s’il a convié le migrant chez lui pour lui apprendre à utiliser les toilettes. A-t-il viré Olympe de sa niche pour qu’elle laisse la place au migrant ? Nous conclurons avec Churchill : « plus je connais les hommes et plus j’aime mon chien ».

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !