Economie7 octobre 2014
L'Édito de Jean-Marc Sylvestre
Manuel Valls va pleurnicher chez les Anglais et, comme prévu, il n’obtient rien
Comme il a besoin de l’Allemagne, le Premier ministre a besoin de la Grande-Bretagne. Il a donc plaidé auprès de Londres les efforts que fait le gouvernement français. Peine perdue. Pour les Anglais, comme pour les Allemands, la France est le pays de la décadence. Pourtant quand on regarde les politiques économiques, rien n’empêche de faire comme eux, il suffirait de le vouloir.